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Ovni sur la lune
Un Ovni a été filmé récemment par la sonde Artémis.
Décollant d'un cratère, on le voit s'élever progressivement vers l'espace.
Déjà, le cratère semble renfermer au fond une structure artificielle dont les angles excluent toute origine naturelle...
La projection de l'ombre de l'ovni suggère une forme cubique... Dans le vide: pas de frottement donc tout à fait plausible..
La vidéo ici ---> ovni décollant de la lune
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Momies de Nazca
Voir également: les pistes d'atterrissage de nazca.
Les corps qui ont été trouvés à ce jour sont divisés en deux races complètement distinctes, une de 1m68 avec des caractéristiques hybrides très similaires à l’homo sapiens et une autre seulement 60 cm avec des caractéristiques uniques jamais rencontrées.Depuis que ces êtres ont été livrés à l’Université d’Ica il a été possible à plusieurs reprises de voir les corps et même les toucher tout en interviewant le personnel de l’étude. Les corps ont été retrouvés en 2015 dans la région de Nazca et ont été étudiés pendant trois ans par le groupe de Gaia.com, Inkary Association et l’équipe de Thierry Jamin (the-alien-project.com) par l’intermédiaire d’une équipe de biologistes, chercheurs et médecins (Mexicain, Français et russe). Les examens ont inclus une analyse chimique physique de la peau qui a abouti à une composition à base de kératine sans glandes sudoripares, donc avec une structure très similaire à celle des reptiles. Le test de datation au carbone 14 sur les deux races rencontrées datent les momies à 150 ans après jésus christ: période où la culture Paracas a vécu dans la région et puis la culture Nazca (célèbre à la place pour les lignes mégalithiques de Nazca). Les analyses adn montrent que la plus petite race a une génétique similaire à celle des dinosaures qui ont vécu il ya des millions d’années alors que la deuxième race a un ADN hybride similaire à l’homo sapiens à 25/30% tandis que le reste est inconnu. Ces examens ont été accompagnés de radiographies et d’une tomographie à 16 sections faites à Cuzco qui ont montré des caractéristiques uniques d’une race complètement différente de nos connaissances actuelles. Une race qui pourrait être classée comme reptile-humanoïde avec un système reproducteur ovipare ( pas de glandes mammaires ni de nombril), peau semblable à celle des reptiles, os creux semblables à ceux de certains sauriens et les oiseaux, les omoplates jointes et soudées dans une configuration semblable à celle des dinosaures anciens ou de certaines espèces d’oiseaux modernes. Les articulations sont également distinctes, similaires aux flamants roses, par exemple. La colonne vertébrale et les nervures circulaires ont une structure unique qui ressemble en partie à celle des tortues. La principale
caractéristique est que tous les êtres rencontrés ont trois doigts mais avec cinq phalanges sans pouce opposable les pieds sont également dotés de 3 orteils de 5 phalanges avec un coussinet au talon. La chance pour les chercheurs est que les corps séchés avec les organes internes grâce aux diatomées: une ancienne algue sérobactérienne fossile qui a gardé les corps presque intacts. Enfin, nous ajoutons que des examens métallurgiques ont également été effectués parce qu’à l’intérieur de certains corps, ils ont rencontré d’étranges greffes biologiques faites d’un mélange de cuivre et d’or très similaire au traitement proto des métaux indigènes. Après avoir publié les résultats de bien 30 examens effectués sur ces êtres (the-alien-project.com/en/mummies-of-nasca-results) les momies ont été livrés en 2019 à l’Université San Luisa Gonzaga à Ica (Pérou) afin de procéder à une deuxième batterie d’examens et d’être en mesure de confirmer et d’approfondir les études précédemment effectuées. À la fin du mois de février de cette année, l’Université a pu compléter les radiographies, tomographes à 128 sections et une étude iconographique qui a clairement identifié que la culture Paracas et Nazca avait probablement eu des contacts avec ces êtres souvent en les liant et en les représentant dans la céramique, dans les tissus géants et les pétroglyphes. Enfin, il a été effectué des tests ADN grâce à la collaboration d’une université brésilienne et d’un laboratoire d’études mexicains. À cela, nous ajoutons également l’aide des groupes d’étude italiens et Français. A l’issue de la première série d’examens, l’Université péruvienne tiendra un congrès pour confirmer cette découverte, peut-être le plus important fait depuis l’humanité est entrée dans l’ère moderne. La première confirmation que nous ne sommes pas les seuls êtres sensibles dans l’univers, mais nous avons même vécu avec d’autres races (terres supplémentaires) probablement plus avancé et évolué que nos connaissances et notre développement d’échange. Je pense que nous sommes tous appelés à aider, c’est au moins ce que j’ai entendu à l’intérieur depuis que j’aide l’Université et les nombreux chercheurs qui essaient de se réunir pour aider. Plus d'informations ici: https://www.the-alien-project.com/momies-de-nasca-maria/
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Oumuamua
Oumuamua
Une civilisation extraterrestre a traversé notre système solaire. C'est ce qu'affirme haut et fort le physicien Avi Loeb. Ce directeur du département d'astronomie de l'université d'Harvard (États-Unis) a développé sa thèse dans le livre "Le premier signe d'une vie intelligente extraterrestre", publié aux éditions Le Seuil.
En 2017, le télescope Pan-STARRS1, situé à Hawaï, a repéré un objet non identifié traversant notre système solaire à une vitesse anormalement élevée. Baptisé Oumuamua ("messager" en hawaïen), cet ovni en forme de cigare mesurait 400 m de long pour 40 m de large.
Une "anomalie en soi"
L'Agence spatiale européenne (ESA) a d'abord déclaré qu'il s'agissait d'un astéroïde avant d'estimer qu'il s'agissait probablement d'une comète, éjectée d'un autre système stellaire. Mais pour Avi Loeb, cette supposition n'explique pas la vitesse excessive d'Oumuamua ni l'absence de traînée que l'ovni aurait dû laisser derrière.
Pour ce physicien, Oumuamua était très certainement une sonde ou un vaisseau extraterrestre. "Si j'ai raison, c'est la plus grande découverte de l'histoire de l'humanité", écrit le chercheur, qui avait déjà développé sa théorie dans un article il y a quelques années. "Quoi que l'on finisse par conclure, force est de constater qu’Oumuamua a été, et demeure, une anomalie en soi", estimait-il.
La découverte de 1I/2017 U1 (`Oumuamua), premier objet interstellaire connu entrant dans notre Système solaire, est un évènement passionnant.
Son nom, d'origine hawaienne signifie: l'éclaireur ou le messager, avec une connotation amicale.
En revanche, ce qui n'est pas commun c'est sa trajectoire: après avoir rejoint le plan de l'écliptique avec un angle de 90 degrés, l'objet s'est mis dans le plan.
Si certains sites n'hésitent pas à le classer directement dans la catégorie des astéroides, d'autres se posent la question d'un éventuel lien avec RAMA de la série éponyme d'arthur c Clarke.... D'ailleurs comme ce dernier, il n'a fait que passer de Véga à Pégaze et est aujourd'hui totalement inaccessible.
Sauf si..
Et là je pense que si l'on met des watts sur ce projet c'est que ce n'est pas forcément qu'un rocher allongé...Encore faut-il savoir si cet objet interstellaire peut être intercepté dans des délais raisonnables. La vitesse d'`Oumuamua étant de plusieurs dizaines de kilomètres par seconde, on serait tenté de dire que cela n'est pas possible, d'autant plus que Voyager 1, l'objet le plus rapide jamais construit par l'humanité, a actuellement une vitesse par rapport au Soleil de seulement 16,6 km/s. Or, une étude réalisée dans le cadre de l'Initiative pour les études interstellaires (projet Lyra) montre le contraire.
Le défi des grandes vitesses
Même si atteindre un objet de cette nature est difficile, compte tenu de sa très grande vitesse et de son inclinaison par rapport au plan de l'écliptique, la technologie actuelle et celle attendue à court terme permettent d'atteindre l'incrément de vitesse requis (DeltaV) pour un rendez-vous avec ce type d'objet.
L'étude s'est focalisée sur une mission à destination d'`Oumuamua. Plusieurs scénarios ont été passés en revue avec des valeurs de paramètres changeantes comme la durée de la mission, les exigences de vitesse, les trajectoires d'interception ainsi que les manœuvres d'assistances gravitationnelles (planétaires et solaires) nécessaires ou non.
Ce qui surprend, c'est que des scénarios de missions avec une date de lancement à l'horizon 2025, utilisant comme lanceur le Space Launch System de la Nasa ou le Big Falcon Rocket de SpaceX, permettraient de donner suffisamment de vitesse à une sonde pour rattraper l'astéroïde. Ainsi, avec une vitesse d'environ 70 kilomètres par seconde, `Oumuamua serait rejoint en 2039, à une distance de 85 unités astronomiques (UA). En revanche, en voyageant moins vite, à 40 kilomètres par seconde, la rencontre aurait lieu en 2051, à plus de 155 UA. En somme, plus la sonde est lente, plus elle atteindra l'objet tardivement.
Un compromis à trouver entre vitesse et retour scientifique
Par ailleurs, un compromis doit être trouvé entre la durée du trajet et le DeltaV requis. C'est la vitesse de la sonde qui définira le type de mission. En effet, si une vitesse élevée réduit la durée du vol pour rejoindre l'objet, elle réduit également le temps disponible pour réaliser des mesures de proximité. A contrario, une vitesse plus faible permet d'envisager différents scénarios de missions tels qu'un survol à faible vitesse ou une mise en orbite autour de l'astéroïde. Dans ces deux scénarios, l'utilisation d'un impacteur à très forte vélocité, de façon à échantillonner les éjectas avec un spectromètre de masse, est envisagée. C'est très vraisemblablement l'option la plus sérieuse pour obtenir des données in situ à forte valeur ajoutée.
En conclusion, une mission à destination d'`Oumuamua peut sérieusement être envisagée dans une petite décennie avec une vitesse requise située entre 33 et 76 km/s, ce qui implique des durées de missions comprises entre 30 et 5 ans. À ces vitesses, et compte tenu de la technologie actuelle dans le domaine des propulsions électriques et chimiques, seul un survol de l'astéroïde est possible. Décélérer la sonde à proximité de l'objet et l'insérer en orbite autour reste du domaine prospectif. L'utilisation de technologies plus avancées, comme la voile solaire ou la propulsion par laser (tiré depuis le sol), donnerait des possibilités de rendez-vous et de survols à faibles vitesses, mais la maturité de ces technologies attrayantes n'est pas attendue avant quelques décennies.
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F18 et ovnis
L’US Navy authentifie trois vidéos d’ovnis filmés par ses pilotes
Sur l'une des trois vidéos authentifiées par l'armée américaine. L'ovni est clairement visible ici en infra-rouge. | US MILITARY VIDEOS OF UNIDENTIFIED AERIAL PHENOMENON (UAP)
Trois rencontres du troisième type. Trois objets qui filent à des vitesses hypersoniques, accélèrent brutalement, virent sur place, s’arrêtent net : les pilotes de F-18 américains qui ont filmé ces « phénomènes aériens non identifiés » en sont encore effarés. D’autant plus que leurs vidéos ont été authentifiées par l’US Navy.
« Mon Dieu ! Regarde ce truc, mec ! » Le pilote américain n’en revient pas. Un objet volant non identifié vient d’apparaître devant son chasseur F-18 Super Hornet. Sur l’écran vidéo, il est parfaitement visible. En infra-rouge, l’ovni est blanc (donc très chaud) sur fond noir (le ciel est comparativement très froid).
Le radar de tir cadre, suit et garde ce « phénomène aérien non identifié » (terminologie officielle américaine) en ligne de mire. Jusqu’au moment où celui-ci choisit de disparaître brutalement.
L’enregistreur de bord de ce chasseur ultra-sophistiqué a tout enregistré, comme à bord de deux autres avions de chasse américains qui ont fait la même rencontre du troisième type en 2015. Avec le même scénario : apparition, suivi, disparition. Le tout commenté en direct par des pilotes totalement effarés.
Des apparitions fréquentes en 2014 et 2015
Parmi ces objets étranges, l’un ressemblait à une sorte de toupie, tournant sur lui-même. Les deux autres étaient plutôt oblongs de forme. Comme l’explique le New York Times, ils sont apparus presque quotidiennement entre l’été 2014 et mars 2015, haut dans les cieux au-dessus de la côte est américaine, mais aussi parfois à quelques mètres au-dessus des vagues de l’océan.
Avec cette bizarrerie relevée par les pilotes, tous chevronnés : tous ces objets ne présentaient aucun moteur ou panache d’échappement infrarouge visible, mais pouvaient atteindre 30 000 pieds d’altitude et des vitesses hypersoniques.
L’une des vidéos , prise début 2015, montre un objet en train de filer à une vitesse phénoménale au-dessus des vagues de l’océan, tandis que les pilotes doutent de ce qu’ils voient.
Joseph Gradisher, porte-parole de l’US Navy, a indiqué que de nouvelles instructions avaient été adressées à la flotte américaine et aux pilotes des appareils.
« Il y avait un certain nombre de rapports différents, a-t-il déclaré. Certains cas pourraient être apparentés à des drones commerciaux. Mais dans d’autres cas, nous ne savons pas qui fait cela, nous n’avons pas assez de données pour suivre ces objets. Le message adressé à la flotte a donc pour objectif de fournir des indications actualisées sur les procédures de compte rendu des intrusions présumées dans notre espace aérien. »
Car trois des vidéos prises par les pilotes de F-18 ont bel et bien été authentifiées par l’US Navy. « Le phénomène montré dans ces vidéos n’est pas identifié », explique sobrement l’armée.
Sans parler de vaisseaux extra-terrestres, il pourrait s’agir de drones militaires ultra-modernes. Capables de filer à des vitesses insoupçonnées, de s’arrêter ou de virer sur place. Ce qui exclurait une présence à bord : cela dépassait les limites physiques d’un équipage humain.
Comme le dit le lieutenant Graves, qui a vu de très près l’un de ces objets volants non identifiés : « La vitesse ne vous tue pas. Mais des accélérations aussi folles, des virages brusques ou un arrêt total à ces vitesses-là, oui ».
Oui, sauf que (JB2019)… si le vaisseau génère son propre champ de gravité, il n’y a aucune incidence sur les occupants comme un aquarium rempli à raz bord et avec des poissons à l’intérieur, cela forme un état d'unicité synchronisée entre le vaisseau et l'équipage qui ne forment plus alors qu'une seule masse. Jean-Pierre Petit l’avait déjà expliqué lors de ses conférences.
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- Écrit par Gibé
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