LE
GOUVERNEMENT
SECRET
L’origine, l’identité, et le but de MJ-12
écrit le 23 Mai 1989
révisé le 21 Novembre 1990
Les signes sont de plus en plus nombreux.
Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.
Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer
les gens de la Terre.
Les rendez-vous ont déjà eu lieu.
Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus.
Pape Jean XXII, 1935
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NDT :
Ce document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par
l’américain Milton William Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. .
Light Tecnology Publishing
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336
U.S.A.
Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son livre,
et agrémentée des commentaires du traducteur :
Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après avoir débuté
dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin
d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été
affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin
d’une pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a
obtenue. Il avait alors accès aux données militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une
autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de briefing des services de
renseignement. C’est là qu’il a appris les informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à
l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il lui a été plus tard donné
une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du
centre de commande, en tant qu’opérateur SPECAT. C’est le jour où il a appris que le bureau des
renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée
définitivement.
Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat
de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972,
il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé
pour mort. Mais il a réussi à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été accidenté par la
même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une
visite à l’hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien,
et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a
travaillé comme responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu un diplôme en
photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un document découvert par Moore, Shandera et
Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper a décidé de
rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un faux désignant une opération dont il avait lu,
lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient
des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version
originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme
de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).
Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De
plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi
Mr Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa
conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait
comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.
Aux U.S.A. , ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et
d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains qu’il est
inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de «
fiction » qui nous viennent des U.S.A. .
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Quelques précisions avant d’entamer le document
Illuminati :
Les illuminati constituent une société secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuis
bien longtemps des membres disséminés à travers le monde dans de nombreux cercles d ‘influence. Cette
société regroupe un ensemble de personnes qui, à travers le monde et depuis bien longtemps ont su et pu,
grâce au soutien de quelques puissants, accéder à des postes importants, à partir desquels ils recrutent euxmêmes
des personnes dont les aspirations sont les mêmes. Le but de ces gens est l’instauration d’un Nouvel
Ordre Mondial à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.
Conseil des Relations Etrangères (CFR en américain) :
C’est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui
étudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des USA. Le
CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affaires
internationales.
Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi des
sociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont des
associations dans lesquelles sont admises certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin
certains rythes initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre des Illuminati.
Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nom
d’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètes
permet aux Illuminati de s’assurer que leurs « recrues » sont en accord avec leurs objectifs).
Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres (dont certains sont ignorants des
motivations du comité exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs) ont infiltré à
travers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le département d’état, le département de la
justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés. Jusqu'à présent, tous les directeurs de la CIA ont été
membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFR
contrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est une
société secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque information à propos
de ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.
George Bush et Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux.
Commission Trilatérale :
La commission trilatérale est un groupe d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et
décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cette
entreprise est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique entre
les trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, est
le Nouvel Ordre Mondial.
La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller.
La raison de sa création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de la
guerre du Viet-Nam qui a mécontenté beaucoup d’américains. La raison de sa création est la même que celle qui
pousserait quelqu’un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les chances de gagner.
Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller était, est et restera
toujours la bénéficiaire de ces 2 organismes.
Groupe Bilderberg :
Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été créé de
manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est
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le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeant
a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des
grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS,...
Vocabulaire utilisé pour la traduction
Extranéen :
Néologisme créé à partir du latin « extraneus » (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui
n’appartient pas à la culture humaine
Alienigène :
Néologisme créé à partir du latin « alienigenus » (qui appartient à une autre race) et désignant tout être
dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires de l’humanité terrestre.
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Perspective
Plusieurs sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de ce document. J’avais tout d’abord
écrit ce document comme résultat de recherche. Il a été pour la première fois rendu public au Symposium du
M.U.F.O.N. , le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de ces renseignements viennent
directement, ou sont des résultats de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que
j’ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de briefing des services de renseignement du
Commandeur en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations proviennent de sources
que je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes, et quelques autres de sources publiées desquelles je
ne peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse. Je crois sincèrement que si les
aliénigènes sont réels, ceci est un document décrivant la véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui a
pu relier les différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à toutes les questions et replace les divers
mystères les plus importants dans un contexte qui leur donne un sens. C’est la seule explication qui montre les
chronologies des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont assemblées, s’emboîtent
parfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je le crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans la
Marine sont authentiques. Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est pourquoi il doit être
formulé en terme hypothétique. La plupart des preuves disponibles actuellement et des preuves historiques sont
en accord avec cette hypothèse.
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Le gouvernement secret
Au cours des années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut
confronté à une série d'événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celui
de l'humanité entière. Ces événements étaient si invraisemblables qu'ils défiaient toute crédibilité. Le président
Truman et son cabinet furent si stupéfiés qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire face, alors que
le pays venait tout juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.
Les Etats-Unis avaient gagné la course à l'armement nucléaire. Depuis qu'elle avait mis au point et
même utilisé la bombe atomique, cette nation se retrouvait la seule au monde à posséder une arme dont la
puissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et la planète elle-même. C'était une époque de grande
prospérité pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie florissante leur offrait un enviable
standing de vie. Ils exerçaient une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus
puissante de l'Histoire. On peut donc aisément imaginer la consternation et l'inquiétude de l'élite
gouvernementale quand celle-ci fut informée de l'écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d'un astronef
piloté par des êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument inconnue.
De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus, sans
compter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n'avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un être
vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le
territoire américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L'un des trois autres
écrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint
impossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse des
témoignages probants ou démentir les affabulation.
Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mésa près d'Aztec au Nouveau-Mexique et un autre
de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits des
deux appareils. Mais l'élément le plus intrigant fut la découverte, à l'intérieur des deux astronefs, d'une
importante banque d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa
s'empara rapidement de tous ceux qui étaient «dans le secret» quand ils comprirent qu'un démon venait de leur
dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée «plus qu'ultra-secrète» et scellée dans un coffre de
sûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité.
Ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.
En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT : Signe ], lequel réunissait les hommes de
sciences les plus éminents d'Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se
métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut
bientôt créée sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but de diffuser des informations anodines
et surtout biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérer
les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [
NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.
Durant ces premières années, l'Armée de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur
le secret de cette affaire. En fait, la CIA avait d'abord été créée par décret présidentiel en tant que «Groupe
central de renseignements» pour s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite,
l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre d'«Agence centrale de renseignements».
Le «Conseil de sécurité nationale» fut établi pour superviser les organes de renseignements et
spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne. Une série d'ordres et de mémos émanant de
ce Conseil libéra peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par
«légaliser» son action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le couvert d'activités quelconques.
Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu'à
celle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d'État, le président
Truman approuva le rapport NSC 4 concernant la «coordination des mesures d'information sur les services de
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renseignements étrangers». A la page 49 du livre 1 du «Rapport final de la Commission d'enquête sur les
opérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements » - Sénat américain, 94e conférence, 2e
session, rapport No 94755, 26 avril 1976 - le service des renseignements étrangers et militaires cite: «Cette
directive a donné au secrétaire d'Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à
combattre le communisme ».
NSC 4A - une annexe ultra-secrète de NSC 4 - chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des
opérations de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4, mais cette demande
initiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la coordination ou à l'approbation de ces opérations.
L'annexe ne faisait qu'indiquer au directeur qu'il pouvait «entreprendre des actions indirectes s'il s'assurait, en
liaison avec l'État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines. »
NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités
de couverture encore plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des politiques
(OPC). Ces deux articles allaient jusqu'à valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pour
autant que les responsables de la sécurité nationale en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeux
du personnel des renseignements, «tous les coups étaient bons». NSC 10/1 permit la création d'un comité
exécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des projets secrets mais n'ayant pas
mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les
aliénigènes. Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation particulière du rôle des
gouvernants. Elles semblaient sous entendre, en effet, que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien
avant que les opérations n'aient été accomplies avec succès.
Une zone tampon s'installa donc entre le président et l'information. Si jamais des fuites venaient à
divulguer le véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa méconnaissance
des faits et se trouverait ainsi à l'abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les
présidents successifs dans l'ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins,
permit au gouvernement secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu'ils voulaient bien
leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d'étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en
secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5,
un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en scène de MJ-12 quatre ans plus
tard.
James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grand
idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à pencher en faveur d'une diffusion publique de l'information.
James Forrestal était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé du problème extranéen aux
leaders de l'Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurs
personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d'être surveillé. Il avait raison mais les autres ne
connaissaient pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On prétendit plus tard
qu'il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que
l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parce
que l'on craignait qu'il n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le
21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention
d’enlever James de Bethesda le 22 mai. C'est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA se
rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d'un drap autour de son cou, en attachèrent l'autre
bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort, devenant
l'une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont été
confisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression du
public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée. L’information des véritables
carnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’une
fiction. Le nom de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic.
Le passager qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un astronef à Roswell en
1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d'après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bush
et signifiant «Entité Biologique Extra-terrestre». E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On
l'interrogea en vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de donner une réponse concluante. Il ne
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commença à s'ouvrir qu'à partir de sa deuxième année de captivité. L'information qu'il livra alors est pour le
moins saisissante. Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre
Jaune ]. Des photographies d’E.B.E. ont été prises que, parmi d’autres, j’ai vu des années plus tard dans le
projet Grudge.
Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à établir un diagnostic
puisque, d'une part, il ne possédait pas d'antécédents sur lesquels se baser pour le traiter et que, d'autre part
l'organisme d'E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes, à
partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour étudier
sa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit appel à un
botaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et l'aider à se rétablir. Le professeur Mendoza
s’efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952, quand il mourut. Le professeur Mendoza devint
l'unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est l’histoire à peine voilée
d’E.B.E.
Les Etats-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères
technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à émettre un appel de détresse vers les
vastes espaces sidéraux. Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent
ce projet, nommé SIGMA.
Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de
sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliénigènes en vue
d'établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait dans la suite des précédents efforts.
L'objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n'importe quel appareil et
provenant de n'importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène,
et de préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet Sigma fut fructueux.
La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d'autres programmes
spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu'elle est
sujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n'est pas écrit dans le texte de
l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit
beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA
se voit octroyer 75% des sommes allouées à l'ensemble des services de renseignements. Un vieux dicton dit
avec raison: «Où va l'argent va le pouvoir». Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n'est plus
aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La fonction première de la NSA
vise encore les communications avec les aliénigènes, mais elle s'est maintenant accrue de d'autres projets en
liaison avec eux.
Le président Truman avait tenu nos alliés - y compris l'Union soviétique - au courant des
développements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçants
pour l'espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d'invasion planétaire, mais il
s'avéra difficile de garder un projet d'envergure internationale à l'abri de la curiosité normale des journalistes à
l'égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de
coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint
connue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit du
premier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ont
été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. Les
Bilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout.
Les Nations unies d'alors - comme de nos jours, d'ailleurs - ne sont qu'une farce monumentale à l'échelle
internationale.
En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire entraîné au
commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l'autorité, il préférait
gouverner en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision majeure que si ses conseillers
étaient incapables d'en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d'abord toutes les
alternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la
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question en approuvant l'une ou l'autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son
mot d'ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que «la fin
justifie les moyens». Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien d'inusité pour un
ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême des
forces alliées. Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.
Au cours de l'année 1953 - sa première en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de disques
furent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au
Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d'apparitions- Des trente aliénigènes qui furent
récupérés, quatre étaient encore en vie.
Eisenhower comprit qu'il lui faudrait s'attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans
devoir le révéler au Congrès. C'est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson
Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d'ébaucher la structure
d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser l'ensemble des intervenants reliés au phénomène
extranéen. C'est ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.
C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en
réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le famille
Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et
âme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller
pour s'occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur
capitale pour l'avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.
Moins d'une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un comité
consultatif présidentiel sur l'organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier la
réorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent
cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l'Education
et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit
assigner le poste de sous-secrétaire d'Orveta Culp Hobby.
Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l'espace des objets de
grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des astéroïdes mais
l'évidence s'imposa bientôt qu'il ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma
réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les
intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la
Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l'équateur. Toutefois, les
responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon - lequel avait mission d'établir des
relations diplomatiques avec les étrangers d'outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le
langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l'espace en
provenance d'une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le
désert. Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu. Un otage
a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.
Entre-temps, des extranéens d'une autre race - d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base
aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce
groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui
avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du
gouvernement qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout
marchandage technologique avec lui en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à
l'égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les
fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D'un autre côté, leur
décision avait été d'autant plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent historique.
Un troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La
base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les
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aliénigènes s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutés
lors d'une rencontre ultérieure. L'événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea
pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez
le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de
l’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes
suivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus
d’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.
Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité formel entre la
nation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu par
notre Etat fut présenté comme étant «Son Altesse toute-puissante Krlll» (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux
ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait
de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant «le toutpremier
otage Krlll», car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après
cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.
Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des
journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche
métaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme un
microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé
que le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.
Une lettre chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : «
Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai - terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en
compagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien conseiller financier
de Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser).
Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après environ six heures pendant
lesquelles nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents
et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde touchait à sa fin, avec un
fantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion et
d’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait vraiment pris fin
avec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes aériennes « autre-avions » est
maintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de la
conscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai
vu cinq types distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air - avec
l’assistance et la permission des « Ethériens » !
Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question
d’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit,
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pendant sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible conflit entre les
différentes « autorités » et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la télévision - si l’impasse
continue plus longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours de
préparation pour être délivrée vers la mi-mai ».
Nous savons qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné la
partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri
peu après les 3 autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light
a mis le mot « Ethériens » entre guillemets pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été
perçus comme des dieux par lui.
Il est bon de préciser que l'emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral. C'est
celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde
rencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.
Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé
par les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives. L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne
devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur
présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science.
Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient
enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à la
condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à leur point d'enlèvement
sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens
devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.
Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans
l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d'accord pour procéder à des
échanges culturels par le biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize «stagiaires étrangers» feraient leur
apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés par un
nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le film
rencontre du 3ème type, un « tuyau » qui s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le conseiller
technique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à propos de
la question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait pour coauteurs le
Lieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA
attaché au projet Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand
il travaillait comme membre scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme
responsable de l’abominable phrase : «C’était seulement du gaz des marais ».
On accepta aussi de construire, à l'usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient
à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites sur
des réserves indiennes aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona, et une
autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près ou
dans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving
Ground, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et
d’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ;
tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert
pour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par
ceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.
Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu.
C'est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à travers
un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont
immédiatement démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants subsides, en 1957,
viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW BOCK.
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Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue d'entreprendre au plus tôt les premiers
vols expérimentaux à bord d'astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au lac Groom, dans le
Névada, à l'intérieur du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone qui porte pour nom de code zone 51. Nul
n'est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit «Q» de la Marine et un laissez-passer
approuvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas d'ironie si l'on songe que
même le président des Etats-Unis n'est pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils se
déroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine
dont le nom de code était «The Dark Side of the Moon» [ NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon la
documentation que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à plein temps dans ce lieu avec
un nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA . En raison de la peur des implants, seulement
certaines personnes étaient autorisées à avoir des relations avec les aliénigènes, et ce personnel était et
continue à être surveillé et contrôlé continuellement.
L'armée fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité de tous les
projets liés à la technologie extranéenne. Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance
nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furent
appelées Delta. Le lieutenant Colonel James « Bo » Gritz était un commandant de la force Delta.
De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient d'avoir en apercevant des
ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés
conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l'avantage de
discréditer, aux yeux de la population, les témoins d'authentiques appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public,
V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s'avéra une
véritable réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes
dernières années.
Un fond secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison
blanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents
qui demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles serviraient à leur
creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à
leur intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les redistribuait à des
entrepreneurs pour l'excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes que militaires, et les installations de
la «Solution 2» à travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une salle de
cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la moindre idée de l'objectif réel de ce trésor.
C'est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant
qu'il fallait «aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s'enfuir en cas d'attaque
armée». Ces «refuges présidentiels sécuritaires» consistent en de véritables cavernes creusées à une
profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de
communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75
installations qui sont aujourd'hui disséminées sous le territoire américain. D'autre part, la Commission de
l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins 22 autres abris.
Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le
Cabinet militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et en
distribue les parts suivant un réseau si complexe que même l'espion le plus habile ou le comptable le plus
compétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en découvrir la
destination. En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à quel
usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y avait le représentant du Texas George
Mahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que le
représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à la
Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le
budget du Congrès et qu'on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le
président, Majesty douze, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à
Washington.
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Les fonds étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de
poste ultra-secret concernant la subvention du programme de construction militaire. L’armée ne pouvait
cependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C'est à la
Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes
de la division de Chesapeake, qui n'en connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en
chef, qui arborait pourtant le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être, le montant réel et la
destination finale de ce fond ultra-secret. C'était un commandant de la Marine assigné à la division de
Chesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secret
absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus
facile de faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n'a été soumis à aucune
vérification comptable et ne le sera sans doute jamais.
De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité
appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette «île aux Cacahuètes» est précisément
adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y a
déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été justement question d'un certain officier de la Garde
côtière qui aurait remis une mallette remplie d'argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à un
employé des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il
que ces versements ont continué sans interruption jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument
servi à des travaux d'embellissement et d'aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argent
demeure encore inconnu, tout comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés.
Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé
la fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui
d'Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement
comporter les attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de
Rockefeller consistait à «fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus
grande coopération entre tous les peuples». Cette description de tâche n'était toutefois qu'un écran de fumée
pour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il
en faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait part
au Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute
instance gouvernementale en matière d'élaboration des politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un
autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait des
services de personnes désignées selon les différents besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad
hoc comptait à l'origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d'Etat et le
directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le «Comité 5412» ou le «Groupe
spécial». Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le
directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations
seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.
Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en
constituant un comité permanent - et non ad hoc - qui allait être connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 -
et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extranéenne.
Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de
renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur
W. Radford, président du Comité interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT :
Bureau fédéral d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères,
surnommés «les Mages»., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller
[NDT: « Père » de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude des
radiations)].
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Le groupe JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administré
par la Miltre Corporation. Le coeur du Conseil de relations étrangères recrute ses membres parmi les anciens de
Harvard et de Yale qui étaient sensés avoir passé l’initiation des « Skull and Bones » et « Scroll and Key » du
temps où ils fréquentaient ces universités. Les « mages » sont des membres clés du Conseil des relations
étrangères et sont aussi membres d’un « Ordre secret de la Quête » connu sous le nom de société JASON.
Majesty douze est composé de 19 membres. La première règle de Majesty douze était qu’aucun ordre
ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses douze plus
hauts personnages, donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tant
que directives de Majorité douze.
Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts
fonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s'accrut plus tard de membres de la commission trilatérale.
Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des «Mages» les plus
important et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen,
George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il
est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty douze
issus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de
l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était
lui-même contrôle par les Illuminati.
Des recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les « mages » n’étaient pas à
Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones ou du Scroll and
key durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé
The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 au
centre du livre, vous trouverez la légende : «Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : son
initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ». J’ai découvert que les
membres étaient choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et n’étaient pas
exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une liste complète des membres du Skull
and Bones ne pourra jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust,
aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a
été impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît,
cachée dans les fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête,
connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères et à l’époque
étaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de la
sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encore
très bien de nos jours, mais elle compte aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale. Cette
commission existait bien avant d'être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne
extranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze a aussi survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous
Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial.
Sous l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont la
dénomination 5412 avait été la cible dans un livre intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait
effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n'était qu'une habile manoeuvre de
diversion pour encore mieux dissimuler l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et
Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule
l'appellation de cette section a changé.
Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne
respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres
mutilés non seulement d'animaux mais aussi d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur
l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait
que tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les
aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient
à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la
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sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient
aussi être une manipulation. En guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats
aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extranéennes.
En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche d'«explorer tous les
facteurs pouvant contribuer à l'élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire». C’était
seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autre
décret-loi secret - le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce groupe
d'«examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin d'en
dégager la vérité». Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade devenue nécessaire pour dévier l'attention des
journalistes qui commençaient à s'enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de personnalités
politiques aussi importantes. Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres
Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d'étude réunissait 35
membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut
invité à y participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président
d'étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955.
Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude.
Les membres du groupe d’étude
Gordon Dean, Président
Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude
Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude
Professeur Edward Teller Frank Altschul
Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong
Hanson W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr.
Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie
Frank C. Nash McGeorge Bundy
Paul H. Nitze William A. M. Burden
Charles P. Noyes John C. Campbell
Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter
James A. Perkins George S. Franklin, Jr.
Don K. Price I.I. Rabi
David Rockefeller Roswell L. Gilpatric
Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby
Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith
Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth
James T. Hill, Jr. Shields Warren
Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson
Mervin J. Kelly Arnold Wolfers
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le
groupe d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était fait bâtir une retraite, quelque
part dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité
d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de campagne,
de son nom de code «Country Club», en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles
de réunion et d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le « Country Club »).
Le groupe d'étude fut «publiquement» dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l'année
suivante, un compte rendu «officiel» des sessions sous le titre «Armes nucléaires et Politiques étrangères», édité
par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en
avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses réunions
en secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu'il
attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit
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tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un monde à part
dont les autres étaient inconditionnellement exclus.
Les révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et leurs
agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il manifestât subitement un tel revirement d'attitude,
autrement inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce
peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une
journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de
vie le conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la
population au courant de la présence extranéenne, car le groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un
effondrement de l'économie autant que des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la
nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non
seulement à l'égard du public en général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds
ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait déjà obtenu la
garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le biais des crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds
confidentiels de la CIA non affectés à son budget.
La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que
les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires et
hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les
aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure
génétique s’était détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient
incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs
explications ont été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées inutiles
contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations
diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de
taille à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à
celles d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme
d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité avec
les aliénigènes.
Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme
capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une
distance de 3 km. Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu'il
pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté,
consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à près de 10
000 m d'altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un
sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases
extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa
part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés.
On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains
d’U.R.S.S. . Nous savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire
les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi
nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des
traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites des aliénigènes, et
redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui
entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au
Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si
l'humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se détruire après
avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie
demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Coeur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un
enfant qui rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait les fondements d'une fausse
religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient
bientôt dans sa personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient
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avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes
conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à
d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une
note optimiste en annonçant le retour du Christ.
Lorsqu'on eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Les
aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée
par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard
qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions
[NDT: de la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne, les U.S.A. et
l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la
prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la
crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions les croire.
Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi était authentique,
ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais
de nos croyances? D'autre part,
En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci
arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la population et à cause de
l'exploitation de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou
extranéenne.
Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et
de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion des hommes de
sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées
solutions 1,2, et 3.
Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses
brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les
mentalités à moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la moins
susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à
cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement.
L’existence d’un trou dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait avoir été essayée.
Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes
les cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces
installations ont été construites et sont prêtes et en attente des quelques personnes à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent
quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la
possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT : appelés marchandise] aient déjà été expédiés, dans le cadre
de ce projet, en qualité de main-d'oeuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la
seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en ma possession des photographies officielles de
la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans le but d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des
naissances - incluant la stérilisation - et de propagation de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement
de la population. Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que puisque la
population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine de se débarrasser
des éléments indésirables de la société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et
les homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la première solution mais ont
conjointement ordonné d'entreprendre la réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.
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En 1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les «constructions souterraines à
grande profondeur». Le prospectus contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant
creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de
gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et vraisemblablement des
villes. De toute évidence, l'industrie de la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs depuis
ses débuts cinq ans auparavant.
Les dirigeants comprirent qu'un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux
aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un
précédent historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient et qu’ils l’avaient utilisé
pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.
A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé
George Bush, qui était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait
à des expérimentations techniques en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient très bien servir,
estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la contrebande à bord
de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne
restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de ravitaillement du personnel régulier
dont la cargaison n'est pas soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde côtière.
George Bush accepta de collaborer à l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les
prévisions qu'il est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe maintenant beaucoup
d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de
George Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De nos jours, la
CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.
C'est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial «officiel» quand, dans son discours
inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie.
Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes
gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial.
L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où
Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé
une base conjointe sur la Lune.
Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la
vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s'y trouve
aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et
provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les Etats-Unis ont, durant toutes ces années,
affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des
projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.
Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et
des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place
nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa
Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur
ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas
partie du Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques
personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune
liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité
de l’élite Bilderberg connu sous le nom de «Comité des politiques». Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par
le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.
La décision du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut
aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le
président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le
cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand
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vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont
très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont
subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce
que la commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était
occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le
peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la
même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat
sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été
capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant
l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez commander une
copie du film en envoyant $30+ $4 de frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington
Beach, California 92648.
En décembre 1988 j’ai eu une conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que
j’avais vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les documents Top Secret disaient
que l’acte était pleinement visible dans un film pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer
tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué et très
plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : « Voudrais-tu le voir ? ». Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par
l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours
chez John . Non seulement il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à
chaque fois que j’ai parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait
obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de
cette version du film Zapruder est Lars Hansson . John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.
Peu après que Lear m’ai donné une copie du film, Lars Hansson m’a appelé et demandé si il pouvait
faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et lui ai demandé de m’apporter une
meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il m’a aussi dit qu’il m’apporterait un film à
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propos d’un homme appelé Bo Gritz, dont je n’avais jamais entendu parler. Mr Hansson m’a informé qu’il avait
copié ce document en vidéo pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux l’utilisaient dans leurs conférences. J’ai
plus tard découvert que Bo Gritz vendait la bande à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie.
Lars vint chez moi, apporta les films sur bande vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ.
Son objectif principal était de me dire qu’il voulait que je montre le film aux gens mais qu’il ne voulait pas que je le
mette en relation avec le film de quelque manière que ce soit. J’ai accepté de ne pas divulguer ma source et je
me suis tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors de mes conférences. Quand j’ai découvert que Bo Gritz la
faisait circuler librement, j’ai cédé à la pression du public et je l’ai aussi fait librement circuler.
Plus tard, j’ai lu dans un des journaux de Los Angeles (dont j’ai oublié le nom), que Lars Hansson disait
qu’il ne savait pas que je possédais le film et qu’il ne savait pas que je le diffusais lors de mes conférences.
Hansson disait dans cet article, qu’il était présent à ma grande conférence d’Hollywood, le 5 novembre 1989, et
qu’il avait essayé de contester mes propos lors de cette conférence, au moment de la partie question/réponse,
mais qu’on ne lui avait accordé aucun droit de parole. Nous avions enregistré l’événement sur bande vidéo et à
la fin j’ai demandé aux gens ayant des questions ou des commentaires d’aller vers le micro que nous avions
placé dans l’allée. J’ai bien examiné chaque recoin de cet enregistrement et Lars Hansson ne s’est jamais levé
de son siège, ni même jamais redressé, ni essayé d’une quelque autre manière de se manifester.
Lars m’a rappelé plus tard et m’a demandé de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix qui disait sans
hésitation et sans réserve aucune, pendant qu’il narrait la bande vidéo, « le conducteur de la voiture tourne avec
son bras gauche au dessus de son épaule et fait feu avec un pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme
automatique plate recouverte de nickel de calibre 45 qu’il tient dans sa main gauche. Il faisait feu par dessus son
épaule droite, vous le voyez clairement. Vous voyez sa tête s’orienter à l’arrière vers le Président. Dans ce gros
plan vous voyez que l’impact le repousse violemment vers l’arrière contre le dos de son siège. Vous voyez Mme
Kennedy envahie par un sentiment de terreur ». Puis, plus loin dans le film, Lars Hansson dit : « vous pouvez
clairement voir sa (au conducteur) tête tourner et son bras, et l’arme qu’il tient au bout, viser par dessus son
épaule droite ». J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes conférences suivantes, j’ai montré
l’enregistrement sans bande audio. Il s’est avéré que les gens le voyaient beaucoup mieux sans narration.
Il est important que vous compreniez bien ce qui précède, car vers la fin de l’été 1990, après que j’aie
montré le film pendant plus d’un an et demi, Lars Hansson a commencé à se montrer à la radio, proclamant que
Greer, le conducteur, n’avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s’est montré à ma conférence, en raillant de
forte voix et en se faisant passer pour un âne. Quand la conférence s’est terminée, il a abordé les gens dans la
foule et, de concert avec David Lifton, a essayé de les convaincre qu’ils n’avaient pas vraiment vu Greer tirer sur
Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens dirent à Hansson et Lifton « d’aller se faire voir ailleurs ».
Une fois que les gens l’on vu de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus être dupés. Hansson, Lifton, Grodin, et
les autres agents du gouvernement secret n’en ont plus pour longtemps. Les américains ont compris l’arnaque.
J’ai des frissons rien qu’à penser à ce qui arrivera à ces gens lorsque les américains finiront par se mettre en
colère. N’oubliez pas que Lear m’a informé que sa source pour le film était un agent de la CIA qui s’était révélé
être plus tard, Lars Hansson.
Hansson a plus tard clamé que j’avais violé son copyright. Il n’avait aucun copyright. Hansson lui-même
avait violé le copyright de quelqu’un en faisant cette vidéo et en la donnant à Lear, Gritz et moi: je n’avais et n’ai
toujours aucune considération à propos du copyright de CE film en particulier. Si je l’avais fait, personne ne
saurait jamais qui a réellement tué notre président.
Bo Gritz a déclaré à la radio, qu’il avait exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué Lear
ou Gritz, qui montrent toujours la bande, et Gritz continue à la faire circuler. Je me demande pourquoi ? Est-ce
que Lear, Hansson et Gritz travaillent ensemble ?
Robert Grodin est alors entré en scène. Il m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui. Il a
proclamé avoir une copie du film Zapruder montrant que Greer n’avait jamais enlevé ses mains du volant de la
voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement secret dont le travail est de noyer le public dans la confusion
et de perpétuer le nuage de brouillard.
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J’ai appelé Bob Grodin et accepté son défi. Je l’ai invité à se montrer avec moi en public au collège de
Beverly Hills et de projeter son film. Il projetterait son film et l’audience déciderait. Il a refusé. Il a refusé parce
qu’il savait que je savais que l’audience le huerait. Grodin sait que Greer a tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie
du système de couverture de la vérité.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui prétend être le premier expert indépendant en interprétation
photographique. Bob Grodin n’a AUCUNE éducation photographique quelle qu’elle soit. Il n’a jamais travaillé
dans la photographie. Bob Grodin n’a jamais, de sa vie, été un interpréteur photographique. Il a menti au public à
propos de ses références pendant toutes ces années et personne ne les a même jamais vérifiées, même le
congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous vraiment que cela soit accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN DIPLOME
DE PHOTOGRAPHIE.
Bob Grodin est ce même Bob Grodin qui a été engagé par le comité sur les assassinats de House
Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a menti de manière flagrante au comité et lui a dit que le
conducteur, William Greer, n’a jamais enlevé ses mains du volant. Son métier est d’écrire des livres et de vous
plonger dans la confusion. Son métier est de maintenir la position selon laquelle le gouvernement a menti et qu’il
y avait une conspiration. Son métier est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos de CELUI QUI a
tué le président. Vous ne pouvez pas accepter le Nouvel Ordre Mondial si vous avez foi en votre gouvernement,
et vous AUREZ confiance en votre gouvernement si vous apprenez que Greer a tué Kennedy sur les ordres des
Illuminati et que cela n’a rien à voir avec le gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous que l’homme qui
était responsable du service secret à l’époque de l’assassinat est devenu l’homme responsable de la sécurité de
la famille Rockefeller jusqu’à sa retraite ? Eh bien, maintenant vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob
Grodin est un ami de Leslie Watkins, et c’est le nom de Bob Grodin que Watkins utilise comme pseudonyme de
l’Astronaute cité dans Solution 3. Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans les débats
radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait tué Kennedy, Bob Grodin l’accompagnait. Saviezvous
qu’à chaque fois qu’un auditeur appelait Ricky White pour lui poser une question, c’est Grodin qui répondait
à sa place ? Pensez-vous vraiment que cela soit une coïncidence ? Le père de Ricky White n’a pas tué
Kennedy.
Pendant des années, j’ai parlé aux gens et lors des audiences des divergences entre les rapports des
docteurs de Dallas et du rapport d’autopsie fait à l’hôpital de la Marine de Bethesda. J’ai montré que les
blessures avaient été falsifiées et modifiées. J’ai dit au monde entier que le corps avait été enlevé de son
cercueil à bord de l’avion et avait été enlevé hors du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu’il était
arrivé à l’hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine de minutes avant le cercueil officiel vide. J’ai
constaté que le cerveau du président avait disparu et j’ai expliqué pourquoi il avait disparu.
Très soudainement, David Lifton fit son apparition à la radio et à la télévision en 1990, en disant au
monde qu’il avait de NOUVELLES preuves qu’il avait découverte lui-même. Sa nouvelle preuve était exactement
dans les moindres détails, ce que j’avais dit aux gens pendant des années. C’était la même information que celle
que j’avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était venu à ma conférence au collège de Beverly Hills. Après
avoir fait un scandale au bureau d’accueil parce qu’il fallait payer l’entrée, Lifton a abordé quiconque
s’aventurerait dans le couloir, et avec Lars Hansson, a essayé de convaincre les gens qu’ils n’avaient pas vu
Greer tirer sur Kennedy. Des personnes légitimes n’auraient jamais agit d’une manière aussi disgracieuse et
discréditante. Mon témoignage et l’outrage du public après avoir vu le meurtre du président Kennedy de ses
propres yeux, a sérieusement endommagé la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson
en révèle le degré de détérioration. Le public peut maintenant voir sans l’ombre d’un doute que soit ils font partie
de la couverture ou bien qu’ils sont des chercheurs totalement incompétents, et dans le cas de Grodin, un
menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.
Au milieu de tout ceci, le TV magazine « Hard copy » m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai montré
le film et ils ont été choqués et passionnés et en voulaient l’exclusivité. Je le leur ai donné mais je leur ai dit que
je doutais fort que cela soit jamais mis à l’antenne. Une date fut convenue pour la diffusion à l’écran, mais juste
avant que nous ne passions le film, un attaché exécutif de NBC a appelé les studios de « Hard copy » de Los
Angeles et leur a dit de ne pas diffuser le film. J’ai essayé de trouver le nom de cet attaché, mais je n’y suis pas
arrivé. C’était la fin de l’affaire. Le producteur qui avait essayé de porter mon histoire à l’écran et le film sur
Kennedy ne travaille plus chez « Hard copy ». Son nom est Bubs Hopper.
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Un autre producteur (dont je ne me souviens plus le nom) de « inside Edition », un autre TV magazine,
m’a contacté, me disant que les américains avaient besoin de voir le film. J’ai accepté d’aller au show mais je lui
ai répété la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela soit jamais porté à l’écran. Une semaine plus
tard, j’écoutais David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a appelé et lui a demandé si il savait qui
j’étais et David Lifton a répondu : « Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr Cooper. Nous allons le
démasquer pour de bon dans un show d’une télévision nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec
cette personne ».
J’ai fait appeler le producteur par quelqu’un pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en
mon nom. J’ai demandé à travers cet intermédiaire à n’apparaître que si je pouvais avoir un contrôle éditorial,
pour m’assurer qu’il ne ferait pas un montage de morceaux pour ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai alors su que
son intention avait été dès le début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé, Lars Hansson a été
convié comme remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui m’avait attaqué, et affirmant que Greer n’avait pas
tiré sur Kennedy ! La raison en devenait évidente, puisqu’ils ont diffusé Bob Grodin à la séquence suivante.
Grodin a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film. Ils avaient eu l’intention de me hacher menu, mais lorsque
j’ai annulé, ils ne pouvaient plus attaquer le film qu’avec Hansson à ma place. Cela avait tout à fait l’apparence
d’une opération de service de renseignement. Cela n’a pas marché.
J’ai découvert l’étape suivante lorsque Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt (enfin) diffuser une vidéo
de sa soi-disante excellente copie du film Zapruder surexposé pour mettre les détails en lumière. La
surexposition mettrait complètement en évidence le bras et l’arme de Greer, qui seraient tous deux en plein
soleil, ce qui aurait pour effet de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les gens ne sont pas aussi
stupides que Grodin pense qu’ils le sont . Je discuterai avec quiconque et n’importe quand tant que c’est en face
d’une audience directe et que rien n’est passé au montage. J’ai vu ce qu’un monteur de film peut faire pour faire
paraître quelqu’un, dire et faire ce qu’il n’a jamais dit ni fait.
Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les satellites habités étaient toujours
escortés d'un astronef extranéen. Le 20 Novembre 1990, la chaîne de télévision n° 2, a annoncé qu’un objet de
forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière
le long de sa dernière mission classifiée militaire. C’était le première reconnaissance publique de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Leurs
photographies officielles par la NASA nous révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges
structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui
traçaient sur la surface de la Lune des marques semblables aux cicatrices que des points de suture laissent sur
la peau. On y voit aussi divers types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus
petits. Il s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous avons parlé. Le programme spatial n'est
donc qu'une blague excessivement coûteuse, et la solution 3 n'est pas de la science-fiction.
Les astronautes des missions Apollo l'ont appris à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé
n'a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite, sans compter qu'ils ont dû
se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence quand on leur ordonna de taire ce qu'ils avaient vu,
sans quoi ils s'exposaient à «la procédure expéditive». Un des astronautes osa tout de même collaborer avec les
producteurs britanniques de chez TV expos de l'émission «Solution 3» en corroborant plusieurs de leurs
allégations lors d’un documentaire non fictif diffusé dans un programme intitulé « Rapport scientifique ».
Les auteurs du livre intitulé Solution 003 parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un
pseudonyme, celui de «Bob Grodin» (le véritable Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et fait partie de la
couverture de l’assassinat de Kennedy). Ils relatent aussi que cet astronaute se serait suicidé en 1978. Or, je n'ai
trouvé aucune source pour confirmer cette information. Je suis porté à croire que certains faits de ce livre sont de
la véritable désinformation , suite à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher l'impact qu'aurait
pu susciter dans la population l'émission britannique. Les quartiers généraux de la conspiration internationale,
sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun, et
les 3 comités ensembles réunissent donc un total de 39 membres du comité exécutif du corps connu sous le
nom de groupe Bilderberg. Le plus important et puissant des 3 comités est le comité des politiques. (Il est des
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plus intéressants de remarquer que les Etats-Unis avaient originellement 13 colonies et que 39 délégués de ces
colonies ont signé la constitution après qu’elle ait été écrite et adoptée lors de la première convention
constitutionnelle. Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les rencontres du comité des politiques ont lieu dans
un sous-marin nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin soviétique et un sous-marin américain
se rejoignent par un sas et la rencontre se déroule. Le secret est tel que c’était le seul moyen qui pourrait
permettre à ces rencontres de ne pas être clandestinement surveillées.
Quoi qu'il en soit, à ma connaissance et selon mes sources, le contenu de ce livre est fondé à 70%. Je
pense que cette désinformation était un essai pour discréditer la télévision britannique TV expos avec de
l’information qui pourrait être prouvée comme étant fausse, tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis quand
Eisenhower avait émis tout un «document de directives» pour mousser le plan d'urgence MAJESTIC-12, alors
que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre pour couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être
prouvée comme étant fausse.
Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons acquis une
technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au
Nevada des engins de type anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages
interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la
vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons
aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs
avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente pas toujours
exactement la même face, comme on le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la
Lune, qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face visible]. Il
y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans
son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les
cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs de
profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une
combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa surface, munis
simplement d'une bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.
J'ai personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées
dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the
Moon. En 1969, un confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les
soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel
en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur
programme pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir
ensemble.
Aujourd’hui l’alliance continue. Le scénario de confrontation dans la base souterraine de la mésa
Archuleta est une pure désinformation élaborée pour rendre la situation encore plus confuse. Je savais qu’une
confrontation avait eu lieu mais je ne m’en rappelais plus les détails. John Lear avait fini par me convaincre que
les aliénigènes et les forces delta s’étaient battus à la base d’Archuleta. (Le Nouvel Ordre Mondial doit avoir un
ennemi provenant d’outre-espace). Plus tard, j’ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer ma mémoire
et les véritables faits ont émergé. A ma connaissance, la seule hostilité qu’il y ait eu entre aliénigènes et humain
a été provoqué par les militaires américains lorsqu’ils ont ordonné que l’on tire sur les O.V.N.I pour capturer leur
technologie.
John Lear dit aussi que nous avons inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes « suceurs de sang » et que
nous ne sommes que des containers pour âme. Ceci est foutaise ! C’est clairement une prise de position pour la
théorie selon laquelle « les aliénigènes n’existent pas ».
Quand le scandale du Watergate éclata, le président Nixon demeura confiant de s'en tirer sans
accusation, car il ne s'estimait coupable d'aucune malversation. Or, tel n'était pas le cas de Majesty douze. Dans
les milieux du renseignement, on conjectura avec raison que, s'il devait y avoir procès, les enquêteurs
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commenceraient par fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient par en étaler les terribles secrets
sur la place publique. Ils ordonnèrent donc à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier
coup d'Etat à jamais avoir été mené par des militaires américains contre leur propre président. L'état major de la
Défense nationale émit un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs des Forces armées américaines
dans le monde entier, disant ceci: «Dès réception du présent message, vous ne devrez plus exécuter aucun
ordre émanant de la Maison blanche. Veuillez accuser réception.». Ce message a été transmis 5 bons jours
avant que Nixon ne cède et n’annonce publiquement sa résignation.
J'ai moi-même tenu en main ce message et, quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il comptait
faire, sachant très bien que cet ordre violait la Constitution, il m'a répondu laconiquement: « Je pense bien que le
mieux à faire est d'attendre de voir si la Maison blanche émettra des ordres, auquel cas j'aviserai». Je n'ai vu
aucun communiqué de la Maison blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle n'en ait pas envoyé. J’en
ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer qu’ils avaient vu
exactement le même ordre. Ces gens sont Randall Terpstra, ex de la Marine, David Race, ex de l’armée de l’air ;
et Donald Campbell, ex de la Marine. La transcription d’une conversation téléphonique entre l’auteur et Mr
Terpstra est présentée à la fin de ce livret et les déclarations signées des autres aussi.
On dirait que, durant toutes les années où ces événements ont eu lieu, le Congrès et la nation
américaine savaient d'instinct que quelque chose ne tournait pas rond dans les affaires de l'Etat. Aussi, quand le
scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a emboîté le pas au mouvement de nettoyage qui semblait
s'annoncer à l'égard des agences de renseignement. Le président Ford commanda une commission à
Rockefeller pour faire enquête sur les activités des agences de renseignements. Voilà, du moins, ce à quoi les
gens s'attendaient . Son but véritable était de barrer la route au congrès et de garder les activités bien cachées.
Le président de cette commission était ce même Nelson Rockefeller, membre du Conseil des relations
étrangères, qui avait aidé Eisenhower à répartir les pouvoirs de Majesty douze. Il divulgua juste assez
d'éléments pour garder la meute aux abois. Il lança quelques os aux membres du Congrès en prenant soin
d'éliminer les plus gênants parmi ces derniers, et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient toujours fait.
Plus tard, ce fut au tour du sénateur Church de diriger les célèbres audiences qui portent son nom. Lui
aussi membre éminent du Conseil des relations étrangères, il ne fit que poursuivre la tactique de Rockefeller au
profit de la conspiration. Quand l’affaire des contrebandiers de l’Iran a émergé, on crut bien, cette fois, que le
chat sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore mordre la poussière. En dépit des montagnes de documents qui
dénonçaient le trafic des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les conspirateurs réussirent à se faufiler
allègrement. Comme mentionné auparavant, un des faits les plus sérieux qui ont été découverts, est que le Nord
préparait un plan pour suspendre la constitution des U.S.A. . Quand le sénateur au congrès Jack Brooks du
Texas a essayé de sonder la situation, il a été ordonné au silence par le président du Comité. Se pourrait-il que
le congrès connaisse toute la situation et ne veuille rien faire ? Sont-ils de ceux qui sont sélectionnés pour aller
dans la colonie sur Mars quand la Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de se détruire ?
La CIA, la NSA et le Conseil des relations étrangères contrôlent des monopoles financiers qui dépassent
tout ce qu'on peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à même les cartels de la drogue et leurs entreprises de
spéculation. Ils ont accumulé une fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et ils profitent maintenant,
sous la protection même de la loi, de leurs placements dans d'immenses réseaux de sociétés de gestion et
d'institutions bancaires. Je ne les connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre attention sur
l’entreprise bancaire J. Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust, la Schroders Ltd. (à Londres), la société
de gestion Helbert Wagg Ltd., la J. Henry Schroder Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie (en
Allemagne), la Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la banque Castle et ses compagnies de gestion, la
banque de développement Asiatique, et les pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies bancaires de
Nugan Hand.
Un plan d'urgence a été élaboré par Majesty douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui tentaient
de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom de MAJESTIC TWELVE. Sa première opération consista à
mandater Moore, Shandera et Friedman de divulguer le soi-disant authentique «document de directives»
d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude, et les grossières bavures dont il est rempli ne font que
nous le confirmer. Par exemple, le décret présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro 092447. Or, ce
numéro n'est pas près de figurer sur la véritable liste puisque tous les décrets de l’administration sont numérotés
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à la suite, sans égard aux divers présidents qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par Truman figurent,
pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower dans la 10 000, par Ford dans la 11 000 et, quant à Reagan,
il n'a guère dépassé le numéro 12 000. Depuis des années, ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en
les orientant sur de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à prendre des vessies pour des
lanternes.
Le Fond de recherche en ovniologie basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce
que je crois être une fraude criminelle en relation avec le document de directives d’Eisenhower, Stanton
Friedman, et l’équipe de recherche de Moore Shandera et Friedman. Maccabee a sollicité des finances de la part
du public, en promettant de les utiliser pour enquêter sur les déclarations de Moore, Shandera et Friedman et
prouver que le « document de directive » d’Eisenhower est vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$
récoltés en entier à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de confirmer ou d’infirmer ses propres dires.
Quel travail difficile ! La communauté ovniologique a senti l’arnaque et attendu les découvertes de Stanton
Friedman avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces documents étaient authentiques. C’est juste
ce que les gens pensaient qu’il trouverait, non ? Il lui a été donné 16000$ pour enquêter lui-même. C’est en
dehors de toute éthique. C’est là un clair conflit d’intérêt. Je pense sincèrement que cela a été une fraude
criminelle, parce que de l’argent a été mis en jeu. Ceux qui ont donné leur argent en toute bonne foi devraient
immédiatement engager des poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le financement pour la
recherche O.V.N.I. . Cette farce a eu pour résultat le gaspillage total de 16000$. Plusieurs centaines d’heures ont
été gaspillées à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si vous doutez de la capacité qu’a le gouvernement à vous
illusionner, vous feriez mieux d’y repenser.
Un autre plan d'urgence est actuellement en cours, et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare,
en effet, à une éventuelle confrontation avec les aliénigènes. Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire
croire en l’existence d’une race extranéenne qui n’existe pas. On vous bombarde de livres, de films, d'émissions
qui vous dépeignent à peu près tous les aspects de leur nature, bons ou mauvais, et la véritable raison pour
laquelle ils sont ici. Observez bien et vous allez remarquer de quelle manière votre gouvernement vous y prépare
peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris de panique lorsque les aliénigènes se manifesteront enfin au
grand jour. Le nombre sans précédent d’observations d’O.V.N.I. à travers le monde indique que cette révélation
publique n’est pas trop loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais
dans l’histoire il n’y a eu autant de reconnaissance publique de la chose. La population fait aussi l'objet de
nombreuses autres manigances, beaucoup plus scandaleuses, dont celle qui consiste, depuis des années, à
importer des stupéfiants pour les lui revendre au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en ont pas les
moyens. Les programmes d'aide sociale ont été mis en place pour que, dans un premier temps, le
désoeuvrement crée chez une certaine catégorie d'individus une totale dépendance vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans
un second temps, les allocations leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une classe
criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années 50 et au début des années 60.
Ce plan d'urgence encourage la fabrication et l'importation d'armes automatiques pour que cette classe
soit portée à s'en servir, et tout cela dans le but de provoquer un sentiment d'insécurité tel que les américains
appuient volontiers les projets de loi qui s'opposent au port d'arme à feu. Des spécialistes de la CIA ont recours à
un procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils administrent des stupéfiants à un sujet affecté de troubles
mentaux, puis lui suggèrent, sous hypnose, l'obsession de tirer des coups de feu, par exemple dans une cour
d'école bondée d'étudiants. Ce plan contribue à faire avancer la cause des adversaires du port d'arme, laquelle,
au demeurant, enregistre actuellement certains progrès. Ce plan est en très bon chemin et jusque là a
parfaitement fonctionné. La classe moyenne demande au gouvernement l’abolition du 2nd amendement [NDT:
c’est, aux U.S.A. , le droit qu’a chaque citoyen de posséder une arme].
Remarque de l’auteur : j’ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu lieu dans tout le
pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai enquêté - l’incident à l’école pour femme du Canada, l’incident du
centre commercial au Canada, le Stockto, en Californie, où eu lieu un massacre, et le meurtre du Rabbi
Meir Kahane - les tueurs étaient tous d’ex-patients mentalement dérangés ou étaient actuellement des
patients mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS TRAITEMENT DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce
médicament, lorsqu’il est pris à certaines doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une
violence extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique ou un contrôle à travers un implant
électronique dans le cerveau ou des micro-ondes ou une intrusion E.L.F. et vous obtenez un meurtre de
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masse, se terminant à chaque fois par le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et
vérifiez si ils n’ont pas d’implants dans le cerveau. Je pense que vous allez être surpris. A chaque fois, il
a nous été refusé de connaître le nom du médecin du meurtrier ou de son centre de traitement
psychiatrique. Je crois que nous serons capable d’établir des connections avec des ensembles de
service de renseignements et/ou des connections avec des expériences connues de programmes
d’expérimentation de contrôle de l’esprit de la CIA , lorsque nous découvrirons à la fin qui sont vraiment
ces docteurs de la mort.
Ces gens vont prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent pour convaincre la
population que l'anarchie règne dans les grandes villes. Ils nous harcèlent à ce sujet presque quotidiennement, le
jour dans les journaux et le soir à la télévision. Lorsque l'opinion publique sera complètement gagnée à cette
idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un dispositif nucléaire, s'est infiltré au pays avec l'intention
de faire sauter l'une de ces villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du Moyent-Orient). Le
gouvernement, envers et contre la Constitution, en profitera alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de
tous les dissidents, autrement dit les gêneurs, ainsi que de tous les individus à qui les aliénigènes ont déjà greffé
un implant. Ces personnes seront ensuite internées dans des camps de concentration qui existent déjà, lesquels
occupent des terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui sait si ces opprimés ne constituent pas le corps des
réservistes [NDT: marchandise] que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies spatiales?
Après avoir saisi les médias d'information et les banques de données informatiques, les gouvernants les
nationaliseront, et toute personne qui tentera de leur résister sera séquestrée ou abattue. Le gouvernement et
l'armée ont déjà procédé, en 1984, à des manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code REX-84,
et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce ne sera pas un exercice, et le gouvernement
secret, avec ou sans les aliénigènes, prendra le pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à renoncer à vos droits et
libertés et préparez-vous à vivre dans la servitude pendant le reste de vos jours. Si ce n'est pas ce que vous
souhaitez, il est grandement temps de vous réveiller et de réagir.
Entre 1970 et 1973, il m'a été donné de voir des documents confirmant que Phil Klass est un agent de la
CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour fonction, entre autres, de déboulonner tout ce qui se
rapportait au phénomène ovni. Il agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs militaires, qui avaient
reçu la directive de recourir à Klass pour apprendre à utiliser ses techniques de dénigrement dans les cas où la
presse et le public les interrogeraient sur le bien-fondé des phénomènes rapportés par des contactés ou des
témoins oculaires. Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles l’encouragent et font grandement attention à
ce qu’il fait. Il est invité pour parler événements ovniologiques et est cité dans les journaux, les livres et les
revues comme étant l’expert de « ce qui s’est réellement passé ».
Philip Klass n’agit pas au mieux de nos intérêts. Ses dénigrements et explications des observations
d’O.V.N.I. sont si parsemés de trous qu’un enfant de 6 ans serait capable de discerner son véritable but. J’ai vu
des personnes énormément induites en erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable en
magnificence à celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al Capone. J’ai découvert que dans
plusieurs circonstances les gouvernants secrets avaient parfaitement raison lorsqu’ils disaient que « des gens
qui n’utiliseraient pas leur intelligence ne seraient pas meilleurs que des animaux qui n’ont pas d’intelligence. De
telles personnes sont des bêtes de somme ou des beefsteack par choix et par consentement » (citation de «
armes silencieuses pour des guerres sans bruit »). Nous obtenons, dans certaines circonstances, exactement ce
que nous méritons.
William Moore, Jaimie Shandera et Stanton Friedman, (sciemment, en toute connaissance de cause et
avec consentement), oeuvrent tous trois pour le compte du gouvernement secret. William Moore a été vu
utilisant une carte d’identité du service d’investigation pour la défense et de sa propre confession à Lee Graham,
il a confirmé être un agent du gouvernement (Lee Graham m’a téléphoné chez moi, et quand je le lui ai
demandé, m’a confirmé que Moore lui avait vraiment montré une carte d’identité du Service d’investigation pour
la défense). Une confession ultérieure de Moore le prouve à nouveau sans aucun doute.
Remarque de l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent celle où j’ai présenté ce document au
symposium du M.U.F.O.N. à Las Vegas, William Moore a admis qu’il était un agent du gouvernement,
qu’il avait livré de la désinformation aux chercheurs, qu’il avait falsifié des documents, qu’il avait
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espionné les chercheurs et rapporté les informations recueillies sur ces chercheurs à la communauté
des agences de renseignement, qu’il avait pris part à une opération de contre-espionnage contre Paul
Bennewicz qui s’était conclue par l’internement de ce dernier dans un institut psychiatrique, et qu’il avait
fait tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître, soit un des plus grands
manipulateurs au coeur de pierre.
Quelques uns des auto- proclamés « ovniologues » estiment encore Moore et citent encore ses
recherches dans leurs correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète un certain degré d’ignorance et
de stupidité dans la communauté O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat Emptor, citant des
articles de la publication de William Moore, Focus, comme preuve que je suis discrédité. Tout cela n’est que
rêve. Il n’y a aucun mystère pour moi à la raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle les ovniologues
des imbéciles et des foldingues : c’est que dans certains cas ils le sont.
Jaimie Shandera est l’homme responsable de la perte de mon emploi de Directeur exécutif du Collège
Technique National. Peu après que mon poste ait été publiquement connu, Shandera est arrivé au Collège,
portant un complet marron et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste pour l’aider. Elle
m’a informée qu’un homme avait traversé le collège et semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe. J’ai
trouvé Mr Shandera scrutant de son regard la classe en pleine activité. Je lui ai demandé si je pouvais l’aider en
quoi que ce soit. Il m’a dit non et m’a ignoré. Je lui ai expliqué que j’étais le directeur exécutif et lui ai demandé à
nouveau si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à nouveau répondu non, mais m’a jeté des regards noirs
et semblait sur ses gardes. Il semblait être extrêmement nerveux et a immédiatement quitté le bâtiment. Je l’ai
suivi jusqu'à la porte à l’extérieur, et un homme traversant la rue a pris une photo de moi avec un appareil de 35
mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa voiture, et il m’a jeté un dernier regard puis est reparti en
voiture. Quelques jours après, il a répété son manège, mais cette fois il m’a dit qu’il avait vu une petite annonce
qui disait que le collège était à vendre et qu’il était venu visiter la propriété. Je l’ai revu encore, sortant des
bureaux du service administratif. Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et s’est précipité
dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d’entrer dedans et s’est en allé. Quelques minutes plus tard, j’ai été
appelé au bureau du président et là, on m’a dit que le collège ne pouvait employer quelqu’un qui compromettrait
son statut d’assisté par le gouvernement en étant impliqué dans des affaires de soucoupes volantes. Je savais
ce qui allait arriver et j’ai présenté ma démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas l’intention d’arrêter mes activités
et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants qui dépendaient autant des programmes d’aide
gouvernementaux. Pendant tout ce temps là, Shandera a cru qu’il avait réussi son opération de manière
anonyme, mais moi et plusieurs autres avons toujours su que c’était lui. Maintenant, vous le savez aussi.
Jaimie Shandera a été formellement identifié par moi, le haut du Département de sécurité, et la
réceptionniste. Plus tard, j’en ai obtenu une autre identification formelle par le Vice Président en charge des
admissions. John Lear était à cette époque la seule personne qui connaissait le nom et l’adresse du lieu de mon
emploi. J’ai plus tard découvert par analyse comparative des proportions du corps et par analyse vocale
graphique que John Lear est l’agent appelé « Condor » de la production TV intitulée « UFO Cover-up live »,
basée sur des données de la CIA . Comme Condor, il est en réalité un agent du gouvernement qui a travaillé
avec Moore, Shandera, Friedman, John Grace, Bob Lazar, et d’autres encore. Ils sont tous de la CIA.
Quant à Stanton Friedman, il a raconté à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé, il y a un certain
nombre d'années, «au développement d'un réacteur nucléaire pas plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné
à propulser un avion et fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui roulait comme un charme! » ( Ce
sont ses propres paroles). Plusieurs autres personnes m’ont écrit pour me dire qu’il leur avait été dit la même
chose par Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté la même histoire. Cependant, le
seul carburant qui puisse libérer de l'hydrogène au cours de la réaction dont il est question ici, c'est l'eau. Or,
cette façon d'associer l'eau à la production d'énergie nucléaire correspond exactement au mode de propulsion
d'au moins un type d'astronef aliénigène, selon la documentation que j’ai lue lorsque j’appartenais aux services
de renseignements de la Marine. Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien, mais c'est tout de même
étrange que ce soit l'équipe qu'il formait avec Moore et Shandera qui ait été chargée d'exécuter le plan d'urgence
de Majestic 12!
Dans les documents que j'ai lus entre 1970 et 1973, il y avait une liste de noms correspondant aux
personnalités les mieux désignées pour le recrutement puisqu'elles étaient capables de convaincre, en utilisant
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le patriotisme comme force de conviction aussi souvent que possible. Si nécessaire, une assistante financière
serait fournie grâce à l’emploi d’une compagnie de propriétaire de couverture ou grâce à des bourses. C’est, par
coïncidence, la méthode par laquelle Friedman a obtenu ses 16000$ d’un autre agent, Bruce Maccabee. Nous
avons aussi découvert que Moore avait reçu de l’argent pour la recherche d’au moins 2 campagnies de
couverture de la CIA Ceci a été confirmé par la recherche de Grant Cameron. D’autres noms étaient cités sur les
listes en tant qu’agents clés actifs des services de renseignement. Lorsque j’ai pour la première fois présenté ce
document, je n’ai donné qu’une liste partielle des personnes citées dans les documents des renseignements de
la Marine. Les personnes suivantes sont celles dont je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup d’autres,
mais celles là sont tout ce dont je me souviens pour l’instant).
Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de la CIA (le père de Lear a été cité comme ayant participé à
la recherche sur l’antigravité) ; William Moore ; John Keel ; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee, de l’O.N.I. (bureau
des renseignements de la marine) ; Linda Moulton Howe ; Philip Klass, de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le
père de Mosely a été mis en question de manière très flatteuse) ; Virgil Armstrong de la CIA (listé comme
Posthethwaite) ; Wendelle Stevens, de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.
C’est là la liste dont je me souviens. Il peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais
d’autres agents qui eux n’étaient pas sur la liste. Vous devez vous souvenir que lorsque j’ai pour la première fois
écrit ce document, j’avais pensé que Bruce Maccabee ne devait pas avoir été recruté, mais plus tard il m’a
donné tort quand il a donné 16000$ à Stanton Friedman pour enquêter lui-même.
Il y avait un code en 2 mots que ces gens utilisaient pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un
oiseau et le second mot était une couleur. Le code était « aigle or ». Quand Stanton Friedman m’a contacté la
première fois, il a utilisé le code. Je lui ai dit ne pas comprendre mais il m’a demandé plusieurs fois si j’avais déjà
vu ou entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi demandé si j’avais déjà entendu parler d’Aigle Or. Il me
testait lui aussi. Ils savaient que j’avais eu accès à la véritable information et ils essayaient de déterminer si
j’étais un des leurs. Comme George Bush dirait, « lisez sur mes lèvres ». Je n’ai jamais été l’un des vôtres. Je ne
serai jamais l’un des vôtres.
Quand j’ai parlé à Stan Deyo en Australie par téléphone, il m’a dit que le code qui lui était assigné était «
Faucon Bleu ». Stan était une victime d’expérimentation sur le contrôle de l’esprit pendant qu’il était cadet à
l’académie de l’armée de l’air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au contrôle de l’esprit ont démissionné de
l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade pour découvrir la vérité quelle qu’elle soit. Stan a écrit
deux excellents livres, The Cosmic Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande de les lire tous
les deux.
Je pense que Linda Moulton Howe pourrait être innocente de toute implication volontaire. Linda en
particulier semble avoir pris d’extrême précautions dans ce qu’elle a présenté au public. Sa recherche est
excellente. J’ai été impressionné quand elle m’a confié que le Sergent Richard Doty de la division du contreespionnage
du bureau de l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait emmené au bureau de
renseignement à la base aérienne de Kirtland au Nouveau Mexique et lui avait montré exactement les mêmes
documents que ceux que j’ai vu lorsque j’étais dans la Marine. Elle a même vu la même information sur
l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant son assassin. Mme Howe est aussi la seule personne
étrangère au monde de la communauté des services de renseignement qui connaît la vérité telle que je l’ai
connue, au regard de l’opération MAJORITE. Elle a fait preuve de bon sens et de grande retenue en ne révélant
PAS les contenus de ces documents au public. C’est pour cette raison que je crois que quelqu’un a essayé de
l’utiliser. Bien heureusement, Linda est loin d’être naïve et elle n’a pas joué le jeu. Je vous recommande de lire
son livre intitulé Alien Harvest. Vous pouvez, je pense, le commander dans n’importe quelle bonne librairie [NDT:
aux Etats-Unis seulement, parce qu’en France...].
J’ai découvert que Whitley Strieber est un homme de la CIA , de même que Budd Hopkins. Le livre de
Strieber, Majestic, l’en a rendu coupable pour ceux qui savent ce qui s’est vraiment passé. C’est la véritable
histoire du crash de Roswell, trouvé dans les agendas mis sous séquestres de James Forrestal, en se basant
sur le fait que les documents que j’ai vu à la Marine n’étaient pas des faux, et je ne pense pas qu’ils le soient.
Les noms des gens et les noms des projets et des opérations ont été changés dans le livre de Strieber, mais tout
le reste de l’information et de la documentation est vraie. Les rapports d’autopsie sont exactement les mêmes
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que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE, il y a de cela 18 ans. Je suis récemment entré en possession d’une
déclaration par écrit et sous serment d’un MD de New York qui est signée, authentifiée, et assermentée sous la
peine encourue quand on fait un faux témoignage, déclarant que ce MD a été recruté par un agent de la CIA
nommé Budd Hopkins pour l’aider dans son travail avec les kidnappés, pour le compte de la CIA. Cette
déclaration écrite figure dans l’appendice de ce document. Je savais que Hopkins avait quelque chose qui
clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait pas me regarder dans les yeux , et quiconque ne peut
pas me regarder dans les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé tout le temps, en y incluant son
speech, à essayer de convaincre les gens de l’innocence de l’expérience d’être kidnappé et de l’absence de
mauvaises intentions des aliénigènes, ce qui est un tissu de bêtise. C’était là une insulte pour quiconque ayant
enquêté sur les kidnappés.
Je sais que toutes les organisations de recherche sur les O.V.N.I. ont été la cible d’infiltration et de
contrôle par le gouvernement secret, de la même manière que le N.I.C.A.P. a été infiltré et contrôlé. En fait, le
N.I.C.A.P. , a fini par se détruire de l’intérieur. Je sais que ces efforts ont été fructueux.
M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des centaines de membres tout autour du monde conduisent
des enquêtes et envoient des preuves physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. , où les preuves
disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces physiques comme preuve. Récemment des
échantillons de liquide ont été prélevés, échantillons qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école
dans le golfe Breeze , en Floride. Les échantillons ont été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont immédiatement
disparus, ce qu’Andrus a déploré comme étant un accident. BETISES ! Ce n’est pas la première fois que le
M.U.F.O.N. a « perdu » une preuve. Je considère que le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la communauté
O.V.N.I. . Le contrôle de l’information est si serré que rien n’en échappe. Quiconque dit ce qu’il en est vraiment,
est déboulonné et tenu à l’écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas croire. Les
membres ne semblent pas savoir qu’ils sont sous contrôle. Les membres du bureau des directeurs du
M.U.F.O.N. et les membres du bureau de conseil des consultants sont pour la plupart soutenus par le
gouvernement sous la forme de salaires , de dons, de chèques de retraites. Qui peut croire que cela ne constitue
pas un conflit d’intérêt ? Qui peut dévoiler et enquêter sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous
possiblement croire que le gouvernement ne pourrait pas contrôler les gens à qui il fournit de l’argent ?
L’ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE DE CONTROLE.
Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans aucun doute contrôlées et sont très probablement,
comme dans le cas de la revue O.V.N.I., financièrement soutenues et contrôlées par la CIA Vicki Cooper (aucun
rapport avec moi), l’éditeur et le propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses amis et ses proches que pendant au
moins deux ans, la CIA a fait pression sur son magazine. Ron Rogehn et Lee Graham, se souviennent de l’été
1988 où Vicki les a interviewé à la résidence de Mr Graham, à Huntington Beach. Après que l’interview se soit
terminée, Vicki Cooper s’est dirigée vers sa voiture, s’est retournée et a mystérieusement crié : « vous savez,
mon magasine pourrait être financé par la CIA ».
J’ai parlé à des amis et à des connaissances de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé à
plusieurs reprises que « la CIA contrôle le magasine O.V.N.I. ». L’oncle de Vicki Cooper, Grant Cooper, était
l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé de défendre son client. Il était important pour le gouvernement
secret et la CIA que Sirhan soit désigné comme étant « le seul assassin ». Grant Cooper a des liens
considérables avec la CIA et le groupe de Johnny Rosselli.
Nous avons découvert que le fils de Vicki est allé à l’académie Militaire du West Point. Quel superbe
moyen de contrôler un magasine ! « si vous ne jouez pas le jeu, vous n’aurez pas le diplôme ». J’ai découvert
que la personne qui a trouvé un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle est arrivée à Los Angeles est Barry Taff,
un employé de longue date des services de renseignements (oui, au pluriel) et protégé de longue date du
professeur John Lilly et du professeur J.West, le premier expert du gouvernement dans la manipulation de
l’esprit. Ces hommes ont été impliqué dans la plus terrible expérimentation jamais mise en oeuvre pour le
contrôle total des individus. Je pense que ce n’est pas une coïncidence innocente si l’appartement de Taff est
directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m’a été confirmé de manière indépendante dans une lettre
écrite par Mr Martin Cannon, un chercheur de Los Angeles. La lettre peut être trouvée dans l’appendice.
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La preuve la plus accablante du contrôle du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A
la conférence du M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition qu’il a pu relater l’histoire
suivante à moi et à deux autres.
Selon Don Ecker, Vicki Cooper travaillait pour l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient
d’attraper Madame et ont trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée de passer le reste de sa vie en
prison si elle ne coopérait pas. Vicki s’est retournée selon Ecker, et a donné son employeur. Depuis que Vicki
avait apparemment eu quelque chose à voir avec l’opération de comptabilité, elle est devenue un témoin clé. La
société Madame Mayflower a été fermée et mise en prison grâce au témoignage de Mme Cooper. C’est selon
Don Ecker, ce qui s’est passé, si il a dit la vérité. Nous n’avons aucune raison de croire qu’il mentait. Je ne sais
pas pourquoi Don Ecker nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas Vicki, ou peut être que lui aussi comme Lear et
Friedman, a cru que j’étais un des leurs (ce sera une journée très froide en enfer).
Selon Ecker, il a été dit à Vicki Cooper de quitter la ville et d’en rester dehors. Il lui a été donné de
l’argent et il lui a été dit de créer le magasine O.V.N.I. à Los Angeles. Il lui a été dit qu’elle devait imprimer des
informations qui lui seraient fournies. Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I. des informations sur les O.V.N.I. soidisant
provenant de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne peut pas être contacté. C’est
toujours écrit sous un pseudonyme et personne ne peut vérifier l’information. Vicki est intransigeante sur le choix
des nouvelles et des informations à imprimer, en fonction de ce qu’elle considère être le mieux pour ses lecteurs,
comme si ils n’avaient pas de cerveau pour y réfléchir par eux-mêmes. Elle s’adonne à la calomnie.
Don Ecker clame avoir été un membre des renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard
officier de police à Boise, dans l’Idaho. Don dit avoir eu un total de 10 ans d’expérience en tant qu’enquêteur à la
criminelle. Le département de police de Boise a dénié, lorsqu’on le lui a demandé par téléphone, avoir eu
connaissance de Mr Ecker. J’ai demandé à Don de fournir une copie de ses registres de service de l’armée,
mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d’expert O.V.N.I. et s’est affublé lui-même (oui, vous l’aviez
deviné) du titre d’ «ovniologue ». Il soupoudre ses articles de mots comme « ovniologique », et ne sait pas le
moins du monde ce que cela signifie. Il confirme la plupart des informations que j’ai divulguées quand il parle à
des groupes de personnes. Il a fourni des bases de données avec une quantité monstrueuse de fichiers qui
confirment tout ce que j’ai pu dire. Ecker les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont tous anonymes.
Il dit que les aliénigènes mutilent les humains comme du bétail. Don Ecker, de même que Vicki Cooper, pratique
la calomnie.
Selon des sources légitimes de responsables policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à la prison
d’état de l’Idaho de Septembre 1981 à Septembre 1982, quand il a quitté ce poste pour devenir un stagiaire
adjoint au département des narcotiques du Sheriff du comté de Canyon. Donald Francis Ecker II a été licencié
après seulement six semaines pour « mauvaise conduite ». Mr Ecker est retourné à la prison d’état de l’Idaho où
il a été employé comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il a perdu sa jambe gauche dans un accident de tir au
fusil pendant un exercice d’entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald Francis Ecker II est un fugitif
devant la justice. Les autorités de l’Idaho possèdent plusieurs mandats d’arrêts concernant Mr Ecker.
Vous devez comprendre que le gouvernement ne permettra à personne ou à aucun groupe de
personnes de mettre au grand jour le secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l’en empêcher. Il
aura toujours à sa disposition des agents pour contrôler les groupes, les publications, et les informations relatifs
aux O.V.N.I. . Si les aliénigènes n’étaient pas réels et que toute l’histoire se révélait être le plus grand canular
ayant jamais été monté, qui pensez-vous, au juste, aurait comploté tout cela ?
Si l’histoire cachée est vraie, tout au long de l'Histoire, les aliénigènes n'ont cessé de manipuler et de
régenter l'humanité par le biais de diverses sociétés secrètes, de l'occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de
la religion. Le Conseil des relations étrangères et la Commission trilatérale maîtrisent parfaitement la technologie
extranéenne et exercent un contrôle absolu sur l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir
une vue d'ensemble du dossier extranéen. Tous les présidents qui lui ont succédé n'en ont su que les seuls
éléments que Majesty douze et les services de renseignements voulaient bien leur laisser savoir et, croyez-moi,
c'était loin d'être la vérité.
Page 31
A la plupart des nouveaux présidents, Majesty douze donnait des aliénigènes l'image d'une civilisation
perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier de dons technologiques en gage de remerciement pour leur avoir
permis d'installer leurs quartiers sur notre planète et de renaître ainsi de leurs cendres. Dans certains cas, le
Président n’en a rien su. Les présidents ont gobé cette histoire à tour de rôle ou n'ont tout simplement rien su. Et,
depuis tout ce temps, combien d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles atrocités que des aliénigènes et
des hommes leur font subir à titre d'expériences scientifiques dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas
arrivé à déterminer exactement ce qu’ils leur font. Plusieurs personnes sont kidnappées et condamnées à vivre
avec des dommages psychologiques et physiques pour le reste de leur vie. Est-ce que cela pourrait être en fait
une opération de contrôle de l’esprit par la CIA?
Selon les documents que j'ai vus, un citoyen sur quarante serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas
découvert le but de ces minuscules appareils, mais le gouvernement semble croire que les aliénigènes les
utilisent pour se «monter» une armée d'individus qui puisse être «mise en marche» et se retourner contre nous
au signal donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure actuelle nous sommes encore loin de pouvoir
nous mesurer aux aliénigènes.
Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir au Sénat américain et à la Chambre des Représentants 536 exemplaires d'une
«pétition accusatoire» et, à cette date, le 23 Novembre 1990, j’ai reçu 6 réponses, seulement 4 de plus qu’en mai
1989.
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Les conclusions sont inévitables
1) Il y a des hommes qui ont échafaudé une structure secrète pour étayer leur pouvoir en se basant sur
la croyance que la planète Terre, soit par suite de notre propre ignorance, soit en vertu d'un décret divin, est
appelée à se détruire un jour ou l'autre d'ici peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le bon geste pour
tenter de sauver l'humanité, mais il est cruellement ironique qu'ils se soient crus obligés de s'allier à une race
extranéenne dont la condition était d'être elle-même engagée dans un combat désespéré pour assurer sa propre
survie. Cette entreprise conjointe a nécessité, tant moralement que légalement, une foule de compromis dont on
découvre aujourd'hui l'ineptie et que l'on se doit de corriger en commençant par exiger des responsables qu'ils
nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que je comprenne la crainte et l'urgence qui ont pu motiver
leur décision de ne pas en parler à la population, je ne les en excuse pas davantage.
L'Histoire est jalonnée de ces puissants groupuscules qui se sont toujours crus les seuls capables de
décider du sort de millions d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des fléaux. Notre grande civilisation
doit son existence même à son respect des principes de la liberté et de la démocratie. Je suis convaincu, au plus
profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais être prospère en faisant fi de ces principes. Il est
temps de tout révéler au public et d'unir nos efforts pour sauver l'humanité toute entière.
2) Nous sommes actuellement manipulés par les puissances extranéennes et les pouvoirs humains qui
se sont coalisés en un gouvernement mondial pour asservir à leurs ambitions une partie de l'humanité. Ceci a
été jugé nécessaire pour résoudre la question primordiale : « qui parlera au nom de la planète Terre ? ». Il a été
décidé que l’homme n’est pas assez mature dans son développement évolutionnaire pour être fiable dans sa
manière d’agir correctement avec une race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème entre les
différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une race totalement étrangère extraterrestre était
introduite ? Serait-elle lynchée, lui cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus ? Est-ce que la discrimination
résulterait en des rencontres désagréables qui condamneraient l’humanité comme conséquence de leur très
évidente technologie supérieure ? Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler dans notre parc ? Le seul
moyen d’empêcher ce scénario d’avoir lieu est de provoquer un bond dans l’évolution des consciences, un
changement radical pour la race humaine toute entière. Je n’ai aucune idée de la manière dont cela peut être fait,
mais je sais que cela a désespérément besoin d’être fait. Cela doit être fait très rapidement et très
silencieusement.
3) Les gouvernements officiels se sont fait entièrement berner par les forces extranéenes qui, quant à
elles, n'ont d'autre intérêt que de nous réduire tous à l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce humaine.
Là encore, nous devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher cela d’arriver.
Si rien de ce qui précède n’est vrai, il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent
notre entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité est d'exiger la vérité, car nous ne
pouvons que nous blâmer nous-mêmes d'être sur le point de récolter les fruits que nous avons produits par nos
propres actions et, surtout, par notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre faute, nous sommes les
seuls à pouvoir changer les événements futurs. L’éducation me semble la majeure partie de la solution. L’autre
partie est l’abolition du secret.
Il est toujours possible que j’ai été manipulé et que tout le scénario extranéen soit le plus grand canular
de l’histoire dans le but de créer un ennemi étranger provenant de l’espace extérieur, de manière à accélérer la
formation d’un gouvernement mondial. J’ai trouvé une preuve que cela pourrait être vrai. Je l’ai incluse dans
l’appendice. Je vous conseille de considérer ce scénario comme probable.
Est-ce par indolence, ignorance ou naïveté que nous avons abdiqué notre plus élémentaire devoir
politique en cessant d'être vigilants à l'égard d'un gouvernement qui se targue d'être fondé «sur le peuple, par le
peuple et pour le peuple» et dont la structure même avait été conçue pour éviter qu'une poignée d'individus
puisse aussi sournoisement décider de la destinée de ce peuple? Si nous avions accompli notre devoir, ce genre
de situation n'aurait jamais pu survenir, mais la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus
fondamentales de notre gouvernement. Nous sommes décidément devenus un vrai troupeau de moutons, et à
quoi sont finalement destinés des moutons sinon qu'à l'abattoir? Il est temps de nous relever pour nous tenir
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debout comme nos pères et marcher droit comme des êtres humains. Je vous rappellerai seulement que les
camps d'extermination nazis dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs d'Europe mais celle
de toutes les nations de ce monde. Les Juifs captifs ont marché avec obéissance vers les chambres à gaz, et
pourtant ils avaient été mis en garde, eux aussi!
Vous devez comprendre que, réel ou non, la présence des aliénigènes a été utilisée pour neutraliser
certaines grandes différentes parties de la population : «ne vous inquiétez pas, les généreux frères de l’espace
vous sauveront ». Cela peut aussi être utilisé pour combler un manque de menace extraterrestre pour justifier la
formation d’un Nouvel Ordre Mondial : «les aliénigènes sont parmi nous ». L’information la plus importante dont
vous aurez besoin pour déterminer vos futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction de
la souveraineté des nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le nouvel ordre mondial ne peut pas et ne devra pas
permettre à notre constitution de continuer à exister. Le Nouvel Ordre Mondial sera un système socialiste
totalitaire. Nous serons des esclaves enchaînés à un système de contrôle économique sans argent liquide.
Si la documentation que j’ai vue lorsque j’étais dans les services de renseignement de la Marine est
véridique, alors ce que vous avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute autre chose écrite. Si,
par contre c’est un canular, alors ce que vous avez lu est exactement ce que les Illuminati veulent que vous
croyiez. Je peux vous assurer sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes ne sont pas réels, la
technologie, elle, EST REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et des pilotes humains les conduisent. Moi
et des millions d’autres, nous les avons vu. Ils sont en métal, ce sont des machines, ils ont différentes tailles et
formes et sont très évidemment guidés par une forme intelligente.
Si soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance d’une espèce d’une autre
planète, nous oublierions tous ces petits conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands pays et nous
comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait tous des êtres humains de cette Terre.
Ronald Reagan s’adressant à Mikhail Gorbachev
NDT :
A noter qu’un président des Etats-Unis, Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu président qu’il
essaierait de clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même une observation d’OVNI, observation qu’il
avait officiellement consignée par écrit à l’époque aux autorités. Mais une fois en poste, il n’a jamais rien fait de la
sorte.
D’après une remarque de Mr Cooper :
Lorsque le président Nixon a prononcé son discours de départ, il a annoncé qu’il dirait au peuple américain la
vérité à propos des ONVI. Comme James Forrestal, Richard Nixon s’est retrouvé prisonnier à l’hôpital de la
Marine de Bethesda. Mais contrairement à Forrestal, Nixon a survécu. Il est resté silencieux.
La totalité des éléments de l’appendice (ce sont des photocopies de documents originaux comme des
lettres, les registres de service de l’armée de Mr Cooper, des articles de journaux et des documents secrets
déclassifiés) sont disponibles dans le livre dont est extrait ce document. Nous ne les reproduirons pas ici par
manque de place (l’appendice fait près de 150 pages).
Ci-joint un document écrit par Mr Cooper non disponible dans son livre, mais publié conjointement à une
traduction de la version originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau, dont le titre est :
L’origine, l’identité, et le but de MJ-12 et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a servi de
document de départ pour la traduction de la version révisée du livre de Mr Cooper
J'ai récemment rencontré, par l'intermédiaire d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains
passages de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je suis sûr que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute
remarquer, à certains indices au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si mon interlocuteur était
vraiment au courant des faits relatés dans mon document. Il faut vous dire que je ne l'ai pas forcé à me révéler
quoi que ce soit; je lui ai simplement demandé de lire un exemplaire de mon document et de me rappeler s'il le
désirait. Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première fois pour lui être présenté, et la seconde pour
entendre ses commentaires à la suite de sa lecture.
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Je prenais part à une réception organisée par un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au
cours de la soirée, cet ami m'a pris à part pour me dire que l'un de ses invités aurait sans doute quelque chose
d'intéressant à me révéler relativement aux informations que je venais tout juste de publier. Son intuition
s'appuyait sur le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu'il avait été assigné,
entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma
curiosité. Aussi ai-je demandé à lui être présenté sur-le-champ.
Dés l'abord, j'ai été impressionné par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de
son esprit, alors qu'il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris trahissaient son âge, mais il avait le
maintien altier de celui qui est depuis longtemps rompu à la discipline militaire.
J'ai entamé la conversation en lui confiant que j'avais moi-même été longtemps engagé dans la Marine.
Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a répondu avoir accompli la majeure partie de son service
dans le Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d'Edwards en Floride. Je lui ai alors fait
part de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à une base de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée de
terre. «C'est vrai, m'a-t-il répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions la sécurité de
plusieurs projets interarmes.» Je lui ai ensuite demandé s'il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai
remarqué qu'il est aussitôt devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il a jeté un coup d'oeil autour comme s'il
cherchait un endroit plus discret. «C'est possible, a-t-il repris, mais vous devez bien savoir, puisque vous étiez
dans la Marine, que je ne peux rien divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté.» J'espérais le rassurer en
lui expliquant que j'avais sans doute exercé le même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux
renseignements de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j'avais mentionné le nom de Redlight,
rien n'y faisait pour arriver à dissiper son malaise.
Nous avons encore échangé quelques paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à
qui j'ai demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT. Après s'être absenté quelques
instants, il est revenu avec le document en main.
J'ai attendu que le vétéran de l'armée prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le
document pour qu'il regarde le dessin que j'avais esquissé à l'endos. Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a
néanmoins pris le temps, pendant que je l'observais en silence, d'examiner cette reproduction de l'Insigne
trilatéral. Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème et je lui ai répondu que je le tenais des services de
renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui me suis informé si lui-même le connaissait, ce à quoi il m'a dit
l'avoir vu sur une pièce d'équipement. «Savez-vous de quel type d'équipement il s'agit?» m'a-t-il demandé. «D'un
appareil qui ne fait pas de bruit», lui ai-je dit. «Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement en quoi consiste le
projet Redlight!» J'en ai alors profité pour lui expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait
justement toute mon information à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise d'abord et me donne ensuite rendezvous
pour me raconter sa propre expérience par rapport à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais
l'identité de mes sources, donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans les yeux en me prévenant que,
si jamais je l'impliquais dans cette affaire en rapportant notre conversation, il n'éprouverait aucun remords à me
faire passer pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour lui garantir
ma bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à mon sujet auprès de notre ami commun, qu'il connaissait «depuis
près de sept ans», m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.
Il m'a téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël.
Nous avons convenu de nous rencontrer à une table de pique-nique dans un parc.
La première chose qu'il a dite en me voyant a été d'insister à nouveau pour que son nom ne soit jamais
mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il a ajouté qu'il ne voulait jamais plus me revoir après cette rencontre.
J'ai accepté ses conditions et il m'a alors donné son numéro de téléphone pour que je le prévienne si jamais je
découvrais par la suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête, je lui ai
demandé la raison pour laquelle il avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce dossier. «Pour la
même raison qui vous pousse aussi à en parler, m'a-t-il rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise
tournure et cela ne présage rien de bon. » Je lui ai proposé de me raconter ce qu'il savait, mais il préférait que je
lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre ses réponses sur mon magnétophone, de peur
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qu'on identifie sa voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers qu'il avait tout à fait raison. Il a cependant
consenti à me laisser prendre des notes par écrit.
Voici donc la reconstitution partielle de notre conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt
arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas cet homme, je n'ai aucun point auquel me référer pour
évaluer le bien-fondé de ses propos ou l'authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il
lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment exceptionnel pour arriver à exprimer toute la gamme des
émotions qui se sont dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper:
Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception de notre ami?
Le vétéran:
Sur une soucoupe volante que j'avais mission de surveiller à la base aérienne d'Edwards. Je l'ai revu sur
différentes soucoupes quand j'ai été affecté à la zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai été
étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce sujet.
Cooper:
La plupart d'entre elles découlent de documents dont j'ai personnellement pris connaissance au début des
années 70. Le reste m'a été transmis par des informateurs. Le dossier que j'ai monté est le fruit de 17 années de
recherche. En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme celle que nous
tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances dans lesquelles il vous a été donné de voir
cette soucoupe à Edwards?
Le vétéran:
On m'avait assigné la garde d'un hangar dont je ne connaissais même pas le contenu.
Cooper:
Quel était le nom de ce hangar'?
Le vétéran:
Il ne portait ni nom ni numéro. On l'appelait le hangar Delta.
Cooper: Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?
Le vétéran:
Il est isolé sur la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y avoir accès sans être muni d'un saufconduit
et d'un insigne spécial.
Cooper: À quoi ressemble cet insigne?
Le vétéran:
À celui que vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il porte une description du détenteur
comme toute autre carte d'identité.
Cooper:
Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?
Le vétéran:
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On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne directement sur le corps de garde.
Au fond de cette salle, une autre porte donne accès à un bureau qui lui-même commande le hangar proprement
dit. Il nous était strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir, l'officier en devoir m'a demandé
si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai répondu qu'il n'était pas dans mes attributions de le savoir. Il m'a
alors demandé si j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il cherchait simplement à me mettre à l'épreuve, je lui ai
répondu que ce n'était pas nécessaire. Il m'a fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il
a déverrouillé la porte du hangar. C'est là que j'ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds mais appuyée aussi sur
des vérins.
Cooper:
Vous employez le mot «soucoupe». Est-ce à dire que cet engin était circulaire?
Le vétéran:
Oui, c'était exactement le genre de soucoupe volante qu'on est habitué à voir au cinéma.
Cooper:
Pouvez-vous me la décrire?
Le vétéran:
Elle avait un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d'un métal non brillant, comme de l'argent terni.
Cooper:
Quelle hauteur avait-elle?
Le vétéran:
De cinq à six mètres environ. L'Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux faces, supérieure et inférieure.
Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran:
Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul côté et à peine trois ou quatre minutes.
Cooper:
Avez-vous aperçu des hublots?
Le vétéran:
Je crois qu'il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à l'intérieur.
Cooper:
Etaient-ils ronds?
Le vétéran:
Non, ils étaient rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient le tour de la carlingue, l'une sur la
face supérieure et l'autre sur la face inférieure à un peu plus d'un mètre de l'intersection de ces deux moitiés, et
une partie de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des lucarnes.
Cooper:
L'officier vous a-t-il dit quelque chose?
Le vétéran:
Simplement qu'il ne m'avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au corps de garde et il est parti.
Cooper:
Etrange comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran:
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Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce que l'on faisait... Par moments, j'ai vu
des hommes éclater en larmes sans raison apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il
disparaissait à tout jamais.
Cooper:
Qu'advenait-il à ces hommes?
Le vétéran:
Je ne sais pas et je n'ai jamais cherché à le savoir.
Cooper:
Avez-vous objection à parler de vos autres expériences?
Le vétéran:
Non, pas du tout.
Cooper:
Comment êtes-vous entré à Delta?
Le vétéran:
J'avais d'abord été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et envoyé à Fort Carson au
Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j'ai été soumis à une sévère procédure de sélection imposée par
les services de sécurité Delta, à l'issue de laquelle ils m'ont enrôlé.
Cooper:
Sur quels critères se sont-ils basés pour vous choisir?
Le vétéran:
Premièrement, m'a-t-on dit, parce que j'étais orphelin. Imaginez un instant qu'un homme soit victime d'un
accident grave dans le cadre d'opérations secrètes. S'il a de la famille, ses parents risquent de compromettre
tout le projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant la disparition de leur cher fils.
Cooper:
Les membres des équipes Delta sont-ils tous orphelins?
Le vétéran:
D'une certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis longtemps ou récemment,
morts de maladie ou tués dans un accident.
Cooper:
N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous demandiez-vous en quoi pouvait
consister ce secret qui semblait si important qu'on doive y assigner des orphelins?
Le vétéran:
J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires... au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler
des chasseurs de primes de Dreamland?
Cooper Que voulez-vous dire?
Le vétéran:
Quand un homme est affecté à Dreamland, s'il sort en permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de ne
pas rentrer à temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de
primes se lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations souterraines où vivent les visiteurs...
Vous savez de qui je veux parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute façon, je ne m'en
souviens presque plus... et n'étions-nous pas censés nous entretenir de Redlight?
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Cooper:
Nous n'avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?
Le vétéran:
Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement vous dire qu'il se passe des choses vraiment bizarres
à Dreamland.
Cooper:
Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?
Le vétéran:
Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai vraiment pas envie d'en parler, voilà tout...
Cooper:
Non, s'il vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou vous ne m'en parlez pas, mais
cessez de jouer avec mes nerfs! Qu'avez-vous à ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire où c'est
situé?
Le vétéran:
Non, je cours un trop grand risque, c'est trop dangereux, et maintenant je suis marié.
Cooper:
Très bien, alors parlez-moi de la zone 51.
Le vétéran:
C'est le quartier général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est en plein coeur d'un
champ de manoeuvres que vous pouvez voir en consultant une carte. Il s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel
on a érigé des installations ultra-secrètes. On y pratique des vols d'essai à bord de soucoupes volantes.
Cooper:
En avez-vous déjà vu quelques-unes voler?
Le vétéran:
Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses prodigieuses.
Cooper:
Est-ce le même type d'appareil qu'à Edwards?
Le vétéran:
L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant à l'autre, il ressemble à un diamant qu'on aurait retourné à
l'envers après l'avoir sorti du chaton d'une bague de fiançailles.
Cooper:
Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?
Le vétéran:
Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois
même iridescent. Par contre, au sol, il présente la même apparence de métal terne que la soucoupe d'Edwards.
Cooper:
À quelle distance de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu?
Le vétéran:
Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à cause des radiations, sans doute.
Cooper:
Page 39
Entendez-vous par là qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire?
Le vétéran:
Je n'en suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque élevé de radioactivité puisqu'il nous fallait
toujours porter un dosimètre* sur nous et aller l'échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.
Cooper:
Combien de temps êtes-vous resté à la zone 51?
Le vétéran:
Mon premier stage a duré trois mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est affecté plus longtemps que quelques
mois. La seconde fois, j'y ai été consigné près de cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de
sortie; mais il faut dire que ces quartiers sont pourvus d'excellents équipements récréatifs.
Cooper:
Je suis navré de vous talonner, mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long sur Dreamland parce que votre
témoignage ne semble pas concorder avec mes autres sources d'information. On m'a dit que la base
extranéenne est située au Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland?
Le vétéran:
Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est
beaucoup trop dangereux, bien plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que
la situation est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de ce que l'avenir nous réserve.
Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais pas de quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame
quelque chose. On construit actuellement d'immenses abris souterrains sous le lac Groom et ailleurs. De toute
manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes mieux documenté que moi à ce sujet. Maintenant, permettez
que je m'en aille. C'est la veille de Noël et je demeure assez loin.
Cooper:
Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de prendre et les rectifier s'il y a lieu?
Le vétéran:
Ce n'est pas la peine. J'ai observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez rien oublié. Mais puis-je vous
demander ce que vous comptez faire de ces notes?
Cooper::
Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme d'un dialogue en prenant garde de ne
pas vous identifier.
Le vétéran:
Si, de toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.
Cooper::
Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous aviez l'intention de me révéler autre
chose, vous avez mon numéro...
Le vétéran:
Je ne pense pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais attention à moi et je ne
rapporterais pas cette conversation. Vous devriez y réfléchir.
Cooper Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?
Le vétéran:
La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous...
Personne n'y peut plus rien changer!
Page 40
Le reste de notre conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet homme m'a paru vraiment sincère et
profondément tourmenté par ce qu'il racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci pour ma
sécurité comme pour la sienne.
Il est le deuxième à me donner la description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards. Tous deux
m'ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait également référence au fameux Dreamland. Mais c'est la
première fois que j'entendais mentionner l'existence de plusieurs bases extranéennes et aussi celle des
chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien significatif à établir entre l'usage des dosimètres et
l'incident qui est survenu aux deux femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à
Edwards. Pour ma part, je n'en connais pas l'emplacement. Cette allusion au «pays des rêves» dans le choix
même du mot Dreamland me rend perplexe parce que cette désignation ne correspond pas à celles que l'armée
à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J'aimerais préciser que mes
informateurs m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était située à Dreamland; mais, par la suite, ils
se sont rétractés et ont nié cette information. Il est tout de même étrange que ce nom revienne constamment sur
les lèvres à chaque fois qu'il est question de la base extranéenne! Par ailleurs, comment savoir puisque les
victimes d'enlèvement invoquent unanimement la défaillance de leur mémoire?
En définitive, les réponses du vétéran de l'armée ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles
questions.., encore plus troublantes !
*Le type de dosimètre qu'on utilisait du temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule
photographique insérée dans un insigne que les membres du personnel devaient épingler à leur chemise
lorsqu'ils travaillaient dans des zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires. En raison de
sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et, selon son degré d'exposition, il était possible
d'évaluer la dose exacte de radioactivité à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement
aérostratégique, je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient équipés en permanence
d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par semaine. S'ils indiquaient une exposition aux
radiations, il nous fallait alors nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette mesure
n'a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.
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